Je vous invite à signer et diffuser largement cette pétition, appel de 108 personnalités publiques à inverser les choix de destruction du service public de santé. Le lien:
samedi 5 octobre 2019
jeudi 30 mai 2019
Michel Vuillaume : alerte à l'hopital de Thonon
"La psychiatrie n'est pas aujourd'hui une priorité aux Hôpitaux du Léman"
vient de déclarer le directeur des HDL.
Aujourd'hui la psychiatrie thononaise fait encore l'actualité. La période de transition de la gestion, des Hôpitaux du Léman vers l'EPSM de La Roche sur Foron au 1er janvier 2020, se fait dans la douleur pour les équipes (manque crucial de médecins, projets de services au point-mort) comme pour les patients et les familles.
La mobilisation de 2016 avait permise de confirmer le maintien des services d'hospitalisation sur Thonon. Il faut maintenant un engagement ferme et définitif des deux directions (HDL et EPSM) et de l'ARS pour acter la construction de nouveaux bâtiments et le financement des services thononais par une dotation budgétaire au même niveau que ceux de La Roche.
C'est impératif pour redonner une perspective stable et un avenir serein pour les équipes et les patients.
C'est impératif pour redonner une perspective stable et un avenir serein pour les équipes et les patients.
Pour mémoire, ma prise de parole le 26 janvier 2016 lors de la manifestation à Thonon, toujours d'actualité à ce jour :
"On juge du degré de civilisation d'une société à la façon dont elle traite ses malades mentaux": C'est à partir de cette phrase de Lucien Bonnafé, psychiatre progressiste, l'un des inventeurs de la psychiatrie de secteur après la Libération, qu'il nous semble nécessaire de faire l'historique ayant conduit au marasme dans lequel se trouve aujourd'hui la psychiatrie dans le Chablais comme au plan national.
Dans les années 50, la découverte des neuroleptiques aidant, l’hôpital psychiatrique s'ouvre, un système de prise en soin avant-gardiste commence à se mettre en place avec la création de la politique dite « de secteur » pour permettre au patient de vivre et de se faire soigner au plus proche de son lieu de vie, de sa famille. Une loi est votée en 1960 attribuant pour chaque secteur géographique couvrant environ 80000 habitants une structure de soin de proximité dotée de lits d'hospitalisation complète, voire d'hospitalisation de jour, et de structures permettant des consultations et un suivi. Le patient est pris en charge dans sa globalité, psychique, physique, sociale par des équipes pluridisciplinaires assurant ses soins, son accompagnement, et le suivi de sa réinsertion sociale s'il y a lieu.
C'est dans ce contexte progressiste des années 70 que sont créées les trois structures d'hospitalisation psychiatrique de
Haute Savoie en 1976, dont celle de Thonon pour le Chablais. Déjà, dès sa création, le secteur chablaisien couvre une population supérieure aux autres secteurs de Haute Savoie sur un territoire plus étendu et accidenté, avec des effectifs infirmiers et médicaux réduits au strict minimum. La DASS de l'époque laissant présager une montée en charge des effectifs infirmiers et des dotations au fur et à mesure du rapatriement des patients chablaisiens hospitalisés alors à Bassens en Savoie, seul établissement habilité à accueillir la psychiatrie publique des deux départements avant 1975.
Au fil des années, les 43 lits octroyés se sont vite remplis mais la dotation n'a pas évolué sensiblement pour autant. Les effectifs infirmiers en hospitalisation complète non plus. Ainsi le secteur du Chablais est devenu, au bout de 40 années de disette l'un des deux secteurs psychiatriques les plus sous-dotés de France, avec toujours le même nombre de lits d'hospitalisation complète et les mêmes moyens humains, alors que la file active de patients suivis a explosé, dans un territoire qui a gagné plus de 50000 habitants.
La psychiatrie du Chablais a donc toujours été laissée pour compte, faisant toujours les frais d'autres priorités budgétaires, tant au plan psychiatrique départemental au profit des reconstructions à neuf des unités d'Annecy ou de La Roche sur Foron, qu'au plan local des Hôpitaux du Léman face au nouveau plateau technique ou du nouveau bâtiment de médecine. Ce furent des choix assumés par les décideurs que nous avons toujours contestés au nom de l'égalité d'accès au soin, la psychiatrie ne devant pas être traitée différemment des autres spécialités médicales.
Les années passant, l'entretien des bâtiments n'étant assuré qu'au strict minimum, des dégradations importantes sont apparues, la pluie a fait son apparition par la toiture du secrétariat, les plaques de plâtre des plafonds se sont décrochées à l'hôpital de jour… et la liste pourrait être longue... Tout a bien été fait pour que nous en arrivions au constat, par la commission de sécurité, que les bâtiments ne sont plus aux normes. L'ARS qui avait visité plusieurs fois l'avait constaté, les directions successives le savaient. Mais tous savaient aussi qu'une des recommandations de la lettre de mission des différents directeurs nommés aux Hôpitaux du Léman, au moins depuis 2008, était de rattacher la psychiatrie de Thonon à La Roche après les résultats d'un audit « téléguidé » par l'ARS annoncé depuis des années comme l'Arlésienne... Dans le même temps, le Projet de Santé Territorial pour la Haute Savoie publié par l'Agence Régionale de l'Hospitalisation en 2009 inscrivait noir sur blanc le scénario du rapprochement avec la Roche ou Annecy.
Ce projet de délocalisation n'est donc pas une erreur technique des technocrates comme certains voudraient le faire croire aujourd'hui pour masquer leur responsabilité. C'est l'application, stricte, d'une décision politique programmée, celle imposée par la recomposition des territoires de santé imposée par la loi Hôpital Patient Santé Territoire de Mme Bachelot votée sous la précédente majorité, poursuivie et aggravée par la récente loi Santé de Mme Touraine fin 2015.
En plus d'être un recul pour la démocratie sanitaire en confortant les pleins pouvoirs de l'Agence Régionale de Santé que lui avait donné la loi Bachelot, la loi Touraine engage une véritable déconstruction de la sectorisation psychiatrique telle que nous la connaissons, au profit de la création d'immenses territoires de santé, redistribuant ainsi toutes les cartes budgétaires et remodelant à sa guise toutes les activités des établissements. Le projet de l'ARS contre la psychiatrie du Chablais s'inscrit pleinement dans ce schéma.
Actuellement deux Territoires de Santé existent en Haute Savoie, un autour du CHAL d'Annemasse au nord et l'autre autour de l'hôpital d'Annecy au sud. L'objectif de la réforme est de n'en conserver à terme qu'un seul à Annecy pour tout le département.
Cette perspective est inacceptable. Elle éloignera encore plus les lieux de décision en privant le conseil de surveillance de notre établissement du peu de pouvoir de contrôle qu'il lui reste actuellement.
Certes la loi Touraine reconnaît les notions de soins de proximité, mais la continuité de ceux-ci est entendue comme la gestion d’un parcours de soins mais ne signifie plus une continuité relationnelle, pourtant si importante en psychiatrie , dans le suivi du patient par la même équipe, entre l’extra-hospitalier et l’intra-hospitalier.
Ce suivi du patient est bien au cœur de nos préoccupations par rapport au projet de délocalisation à La Roche à 45 kms.
L’unité du secteur disparaît donc officiellement comme base d’organisation de la psychiatrie publique. Celui-ci aurait pourtant pu être une source d’inspiration utile pour repenser les liens entre la médecine de ville et l’hôpital.
Cette politique tourne le dos aux besoins de la population et s’inspire d’une logique purement libérale et purement comptable. L'humain n'a plus sa place principale dans ce dispositif.
Notre manifestation d'aujourd'hui, le succès de la pétition, votre présence massive aux côtés des familles qui ont fait un travail de mobilisation remarquable, comme celle de très nombreux professionnels de santé et du tissu associatif, prouvent qu'il existe dans notre territoire des forces qui ne s'accommodent pas des décisions arbitraires prises sans tenir compte des besoins.
Cette formidable mobilisation ne devra pas être déçue, par des promesses non tenues ou par des votes nationaux contraires aux intérêts locaux, comme nous les subissons depuis trop longtemps.
Votre mobilisation, dans la diversité de vos opinions pour défendre ce service public menacé ne doit pas fléchir. Elle devra se poursuivre bien après cette manifestation pour garder la psychiatrie à Thonon dans des locaux reconstruits et avec une dotation remise à niveau, comme elle devra se renforcer dans la période à venir pour exiger que les Hôpitaux du Léman puissent bénéficier des aides nécessaires à leur développement et au maintien de toutes leurs spécialités en gardant une autonomie de gestion publique, et en rejetant tout partenariat public-privé.
Pour ce qui concerne nos organisations syndicales, nous sommes disponibles pour écrire,avec la population et à partir de ses besoins, la nouvelle page d'un projet de santé territorial répondant aux attentes des chablaisiennes et les chablaisiens.
Que l'ARS entende aujourd'hui notre détermination avec force, nous ne lâcherons rien !
"On juge du degré de civilisation d'une société à la façon dont elle traite ses malades mentaux": C'est à partir de cette phrase de Lucien Bonnafé, psychiatre progressiste, l'un des inventeurs de la psychiatrie de secteur après la Libération, qu'il nous semble nécessaire de faire l'historique ayant conduit au marasme dans lequel se trouve aujourd'hui la psychiatrie dans le Chablais comme au plan national.
Dans les années 50, la découverte des neuroleptiques aidant, l’hôpital psychiatrique s'ouvre, un système de prise en soin avant-gardiste commence à se mettre en place avec la création de la politique dite « de secteur » pour permettre au patient de vivre et de se faire soigner au plus proche de son lieu de vie, de sa famille. Une loi est votée en 1960 attribuant pour chaque secteur géographique couvrant environ 80000 habitants une structure de soin de proximité dotée de lits d'hospitalisation complète, voire d'hospitalisation de jour, et de structures permettant des consultations et un suivi. Le patient est pris en charge dans sa globalité, psychique, physique, sociale par des équipes pluridisciplinaires assurant ses soins, son accompagnement, et le suivi de sa réinsertion sociale s'il y a lieu.
C'est dans ce contexte progressiste des années 70 que sont créées les trois structures d'hospitalisation psychiatrique de
Haute Savoie en 1976, dont celle de Thonon pour le Chablais. Déjà, dès sa création, le secteur chablaisien couvre une population supérieure aux autres secteurs de Haute Savoie sur un territoire plus étendu et accidenté, avec des effectifs infirmiers et médicaux réduits au strict minimum. La DASS de l'époque laissant présager une montée en charge des effectifs infirmiers et des dotations au fur et à mesure du rapatriement des patients chablaisiens hospitalisés alors à Bassens en Savoie, seul établissement habilité à accueillir la psychiatrie publique des deux départements avant 1975.
Au fil des années, les 43 lits octroyés se sont vite remplis mais la dotation n'a pas évolué sensiblement pour autant. Les effectifs infirmiers en hospitalisation complète non plus. Ainsi le secteur du Chablais est devenu, au bout de 40 années de disette l'un des deux secteurs psychiatriques les plus sous-dotés de France, avec toujours le même nombre de lits d'hospitalisation complète et les mêmes moyens humains, alors que la file active de patients suivis a explosé, dans un territoire qui a gagné plus de 50000 habitants.
La psychiatrie du Chablais a donc toujours été laissée pour compte, faisant toujours les frais d'autres priorités budgétaires, tant au plan psychiatrique départemental au profit des reconstructions à neuf des unités d'Annecy ou de La Roche sur Foron, qu'au plan local des Hôpitaux du Léman face au nouveau plateau technique ou du nouveau bâtiment de médecine. Ce furent des choix assumés par les décideurs que nous avons toujours contestés au nom de l'égalité d'accès au soin, la psychiatrie ne devant pas être traitée différemment des autres spécialités médicales.
Les années passant, l'entretien des bâtiments n'étant assuré qu'au strict minimum, des dégradations importantes sont apparues, la pluie a fait son apparition par la toiture du secrétariat, les plaques de plâtre des plafonds se sont décrochées à l'hôpital de jour… et la liste pourrait être longue... Tout a bien été fait pour que nous en arrivions au constat, par la commission de sécurité, que les bâtiments ne sont plus aux normes. L'ARS qui avait visité plusieurs fois l'avait constaté, les directions successives le savaient. Mais tous savaient aussi qu'une des recommandations de la lettre de mission des différents directeurs nommés aux Hôpitaux du Léman, au moins depuis 2008, était de rattacher la psychiatrie de Thonon à La Roche après les résultats d'un audit « téléguidé » par l'ARS annoncé depuis des années comme l'Arlésienne... Dans le même temps, le Projet de Santé Territorial pour la Haute Savoie publié par l'Agence Régionale de l'Hospitalisation en 2009 inscrivait noir sur blanc le scénario du rapprochement avec la Roche ou Annecy.
Ce projet de délocalisation n'est donc pas une erreur technique des technocrates comme certains voudraient le faire croire aujourd'hui pour masquer leur responsabilité. C'est l'application, stricte, d'une décision politique programmée, celle imposée par la recomposition des territoires de santé imposée par la loi Hôpital Patient Santé Territoire de Mme Bachelot votée sous la précédente majorité, poursuivie et aggravée par la récente loi Santé de Mme Touraine fin 2015.
En plus d'être un recul pour la démocratie sanitaire en confortant les pleins pouvoirs de l'Agence Régionale de Santé que lui avait donné la loi Bachelot, la loi Touraine engage une véritable déconstruction de la sectorisation psychiatrique telle que nous la connaissons, au profit de la création d'immenses territoires de santé, redistribuant ainsi toutes les cartes budgétaires et remodelant à sa guise toutes les activités des établissements. Le projet de l'ARS contre la psychiatrie du Chablais s'inscrit pleinement dans ce schéma.
Actuellement deux Territoires de Santé existent en Haute Savoie, un autour du CHAL d'Annemasse au nord et l'autre autour de l'hôpital d'Annecy au sud. L'objectif de la réforme est de n'en conserver à terme qu'un seul à Annecy pour tout le département.
Cette perspective est inacceptable. Elle éloignera encore plus les lieux de décision en privant le conseil de surveillance de notre établissement du peu de pouvoir de contrôle qu'il lui reste actuellement.
Certes la loi Touraine reconnaît les notions de soins de proximité, mais la continuité de ceux-ci est entendue comme la gestion d’un parcours de soins mais ne signifie plus une continuité relationnelle, pourtant si importante en psychiatrie , dans le suivi du patient par la même équipe, entre l’extra-hospitalier et l’intra-hospitalier.
Ce suivi du patient est bien au cœur de nos préoccupations par rapport au projet de délocalisation à La Roche à 45 kms.
L’unité du secteur disparaît donc officiellement comme base d’organisation de la psychiatrie publique. Celui-ci aurait pourtant pu être une source d’inspiration utile pour repenser les liens entre la médecine de ville et l’hôpital.
Cette politique tourne le dos aux besoins de la population et s’inspire d’une logique purement libérale et purement comptable. L'humain n'a plus sa place principale dans ce dispositif.
Notre manifestation d'aujourd'hui, le succès de la pétition, votre présence massive aux côtés des familles qui ont fait un travail de mobilisation remarquable, comme celle de très nombreux professionnels de santé et du tissu associatif, prouvent qu'il existe dans notre territoire des forces qui ne s'accommodent pas des décisions arbitraires prises sans tenir compte des besoins.
Cette formidable mobilisation ne devra pas être déçue, par des promesses non tenues ou par des votes nationaux contraires aux intérêts locaux, comme nous les subissons depuis trop longtemps.
Votre mobilisation, dans la diversité de vos opinions pour défendre ce service public menacé ne doit pas fléchir. Elle devra se poursuivre bien après cette manifestation pour garder la psychiatrie à Thonon dans des locaux reconstruits et avec une dotation remise à niveau, comme elle devra se renforcer dans la période à venir pour exiger que les Hôpitaux du Léman puissent bénéficier des aides nécessaires à leur développement et au maintien de toutes leurs spécialités en gardant une autonomie de gestion publique, et en rejetant tout partenariat public-privé.
Pour ce qui concerne nos organisations syndicales, nous sommes disponibles pour écrire,avec la population et à partir de ses besoins, la nouvelle page d'un projet de santé territorial répondant aux attentes des chablaisiennes et les chablaisiens.
Que l'ARS entende aujourd'hui notre détermination avec force, nous ne lâcherons rien !
Michel Vuillaume
lundi 27 mai 2019
jeudi 23 mai 2019
4) Pour l'Europe des gens
CONTRE L'EUROPE DE L'ARGENT
Je compte sur vous comme vous pouvez comptez sur nous - Ian Brossat
Annick Reigné : les questions culturelles
Jean-Philippe Robert : le rôle des députés communistes européens, les conquis sociaux possibles avec plus de députés GUE.
mercredi 22 mai 2019
3) Pour l'Europe des gens
CONTRE L'EUROPE DE L'ARGENT
Jean-Claude Reynaud : le rôle que devrait jouer l'Europe face aux Etats Unis.
Claudine Vuillaume : la nécessaire lutte européenne pour l'égalité Homme/Femme, la défense du droit à l'IVG et à l'avortement
Guillaume Mauxion : l'appel à la jeunesse contre l'abstention, le barrage au RN et à Macron.
mardi 21 mai 2019
2) Pour L'Europe des gens.
CONTRE L'EUROPE DE L'ARGENT
Gil Thomas : son appel en tant qu'élu local. Le problème des travailleurs détachés qui pèse sur l'emploi et les petites entreprises dans le Chablais, les questions écologiques.
Philip Domergue : la défense du service public d'éducation
Michel Vuillaume : l'accès aux soins, la défense du service public hospitalier, le rôle que pourrait jouer la BCE dans un fond européen pour la défense des services publics.
lundi 20 mai 2019
1) Pour l'Europe des gens
Contre l'Europe de l'argent
- Bernard Neplaz : sur le contexte politique montrant des similitudes avec la période de 1938 (perte des repères politiques, montée des nationalismes et populismes)
- Louis Biord : la lutte des Gilets Jaunes et la nécessité de passer de la lutte des ronds-points au vote Ian Brossat.
ian brossat mobilisation dernière semaine
dimanche 19 mai 2019
Pour l'Europe des gens
CONTRE L'EUROPE DE L'ARGENT
- Louis Biord : la lutte des Gilets Jaunes et la nécessité de passer de la lutte des ronds-points au vote Ian Brossat.
jeudi 16 mai 2019
Appel à la population
Il faut sortir des traités, en écrire d'autres en se fixant d'autres objectifs (Fabien Roussel)
Fabien Roussel était l'invité de la matinale de France 2 le 14 mai 2019
Appel à la population
Bonjour à toutes et tous !
Les élections européennes ont lieu le 26 Mai.
Je m'adresse à vous pour vous demander de faire tous les efforts nécessaires pour porter le plus haut possible la liste que je conduis.
La barre des 5% est à portée de main. Nous avons une belle dynamique de campagne et les retours de terrain sont très positifs. Il reste à transformer ce mouvement en votes dimanche 26 Mai.
Pour ce faire 2 idées simples et efficaces.
D'abord vous assurer que vous serez bien présents dimanche 26 mai pour voter en faveur de notre liste.
Ensuite, en appelant vos amis vos proches, vos collègues de travail, votre famille pour vérifier qu'ils seront là aussi pour voter en notre faveur.
Beaucoup de gens ne savent pas qu'il y a une élection et qu'elle a lieu très prochainement.
J'ai besoin de la mobilisation de chacune et chacun.
Pour toute demande de procuration : envoyez un message en privé, je vous trouverai une solution.
Je compte sur vous !
Amitiés,
Ian.
mercredi 15 mai 2019
mobilisation générale!
Débat sur France 2 du 22 mai : mobilisation générale!
Nous avons appris que France 2 souhaitait organiser le mercredi 22 mai 2019 deux débats télévisés distincts pour les élections européennes.
Le premier débat comprendrait six personnalités de partis considérés comme « principaux », le second rassemblant en deuxième partie de soirée neuf autres têtes de listes considérées comme « secondaires ».
Les équipes de France TV ont fait le choix de placer la liste du Parti Communiste Français dans la deuxième catégorie. C’est un véritable scandale démocratique qui fait honte à la mission d’information et d’impartialité du service public, alors même qu’une autre chaîne privée (BFM) a fait le choix d’intégrer la tête de liste du PCF au débat avec les principales têtes de listes et que la première radio publique juge évident d’inviter Ian Brossat parmi les principales personnalités de cette campagne européenne.
Cette décision est doublement inacceptable. D’abord parce que ces débats interviennent à quatre jours du vote, et présentent donc un caractère crucial pour ces élections aux enjeux insuffisamment connus de nos concitoyens. Dans cette optique, il est particulièrement inacceptable que le service public audiovisuel s’arroge le droit de décider quelles listes figurent « en première division » et d’en reléguer d’autres en « deuxième division ». Nous refusons de nous faire voler une élection politique par un diktat médiatique.
D’autre part, parce que le PCF ne saurait être considéré comme une force secondaire. Le PCF dispose de deux groupes parlementaires à l’Assemblée nationale et au Sénat, de trois eurodéputés sortants et d’un réseau de 7000 élus locaux. Nous sommes est en situation de responsabilité dans de nombreuses collectivités
Depuis le premier débat télévisé de France 2, notre campagne est marquée par une véritable dynamique. La presse, toutes tendances confondues, s’est d'ailleurs fait largement l’écho de cette percée… Il serait donc particulièrement incompréhensible que France 2, chaîne du service public relègue au second plan la seule campagne de gauche ayant créé la surprise.
Nous te demandons donc une nouvelle fois d’intervenir personnellement auprès de France 2 afin de les faire revenir sur cette décision.
Pour cela, tu peux
- envoyer un mail de contestation aux adresses suivantes :
delphine.ernotte@francetv.fr et yannick.letranchant@francetv.fr,
- saisir le médiateur de France télévision : http://www.francetvinfo.fr/nous-contacter/mediateur-info,
- appeler directement le standard de France TV au 01 56 22 60 00 pour faire connaître ton mécontentement.
Comptant sur votre intervention.
Cette décision est doublement inacceptable. D’abord parce que ces débats interviennent à quatre jours du vote, et présentent donc un caractère crucial pour ces élections aux enjeux insuffisamment connus de nos concitoyens. Dans cette optique, il est particulièrement inacceptable que le service public audiovisuel s’arroge le droit de décider quelles listes figurent « en première division » et d’en reléguer d’autres en « deuxième division ». Nous refusons de nous faire voler une élection politique par un diktat médiatique.
D’autre part, parce que le PCF ne saurait être considéré comme une force secondaire. Le PCF dispose de deux groupes parlementaires à l’Assemblée nationale et au Sénat, de trois eurodéputés sortants et d’un réseau de 7000 élus locaux. Nous sommes est en situation de responsabilité dans de nombreuses collectivités
Depuis le premier débat télévisé de France 2, notre campagne est marquée par une véritable dynamique. La presse, toutes tendances confondues, s’est d'ailleurs fait largement l’écho de cette percée… Il serait donc particulièrement incompréhensible que France 2, chaîne du service public relègue au second plan la seule campagne de gauche ayant créé la surprise.
Nous te demandons donc une nouvelle fois d’intervenir personnellement auprès de France 2 afin de les faire revenir sur cette décision.
Pour cela, tu peux
- envoyer un mail de contestation aux adresses suivantes :
delphine.ernotte@francetv.fr et yannick.letranchant@francetv.fr,
- saisir le médiateur de France télévision : http://www.francetvinfo.fr/nous-contacter/mediateur-info,
- appeler directement le standard de France TV au 01 56 22 60 00 pour faire connaître ton mécontentement.
Comptant sur votre intervention.
jeudi 2 mai 2019
Manif du 1er Mai
Manifestation du 1er Mai : la convergence des luttes se poursuivra, malgré l’atteinte au droit de manifester
Ce 1er Mai, la convergence des luttes s’est amplifiée, avec des dizaines de milliers de personnes mobilisées pacifiquement, à Paris et dans toute la France
Lors de la manifestation parisienne, cette convergence, redoutée par un pouvoir décidé à maintenir son cap, comme en témoigne la récente intervention du président de la République, a encore une fois fait l’objet d’une grave répression.
La responsabilité de Monsieur Castaner est clairement engagée. Ce ministre de l’Intérieur se fait une spécialité de jouer au poker avec les manifestations populaires. Non seulement, il ne prend pas les mesures susceptibles d’empêcher quelques centaines de casseurs de nuire, mais il s’attaque aux dizaines de milliers d’hommes et de femmes qui expriment pacifiquement leurs revendications.
Toute la lumière doit être faite sur cette nouvelle atteinte au droit de manifester. La dérive autoritaire du gouvernement, qui s’inscrit dans la continuité de la loi dite « anticasseurs », doit cesser.
Le PCF appelle à amplifier encore les mobilisations dans les semaines qui viennent. Le 4 mai, avec les « Gilets jaunes » et à l’occasion de la Marche internationale pour la justice écologique et sociale à Metz... Et le 9 mai, lors de la journée intersyndicale de la fonction publique.
300 manifestant-e-s à Thonon-les-Bains
vendredi 26 avril 2019
Château de Morcy
"Château de Morcy" à Thonon : les communistes font une proposition.
Le conseil municipal de Thonon a voté hier soir pour la préemption du "Château de Morcy". C'est une bonne décision qui réjouira tous ceux qui s'inquiétaient de voir à nouveau livré aux promoteurs cette propriété de plus de 11000 m2, comme l'a fait à maintes reprises la municipalité pour différents sites.
Ce domaine revient donc au domaine public, ouvrant la possibilité d'un parc de plus de 10000 m2. Reste la question de l'utilisation du "Château", suivant son état intérieur.
Depuis plusieurs années, les communistes de Thonon mettent en débat le fait que les centres de loisirs soient maintenus dans les écoles, ne sortant pas les enfants de leur cadre habituel. Ce nouveau domaine acquis nous incite à relancer notre proposition. Nous invitons la municipalité à y réfléchir sérieusement après étude du bâtiment et évaluation des travaux de mise aux normes pour une telle utilisation.
mercredi 3 avril 2019
Histoire d’une petite ville ordinaire en l'an 2019
Sous le règne du président Macron 1er
Trente mille habitants sur les bords du lac Léman. Là où il devrait faire bon vivre : paysages magnifiques, le lac, la plage, la montagne, le ski, l’alpinisme et les promenades. Là où on a voté Macron et élu une députée LRem (en marche arrière).
Et pourtant...
Pas un mois sans plusieurs ;manifestations de presque toutes les catégories de la population.
Pour la défense de l’hôpital, des ehpad, des retraites, des lycéens, des enseignants, de l'école publique, des gilets jaunes, du secteur public, du climat...
Et à chaque fois en présence de plusieurs centaines de manifestants, du rarement vu dans cette ville.
Alors Monsieur le Président Macron 1er ?
Le problème ce ne sont pas les casseurs des Champs-Élysées (qui en passant vous rendent bien service pour dénaturer les mouvements ). C’est votre gouvernement et vous-même qui ne répondez sur aucun point à la demande des français, au nom desquels vous parlez beaucoup, en mimant votre intérêt condescendant, sans les écouter.
Pourtant votre députée Madame Lenne doit bien vous faire remonter ces impatiences du peuple, du "petit peuple", à moins que vous ne l’écoutiez pas non plus...
Monsieur le President Macron 1er,
Thonon-les-Bains n’est pas la seule petite ville française à se révolter, loin des casseurs, elle fait partie de ce grand mouvement national qui déteste votre politique de casse.
Marche pour la protection du climat
Manifestation contre la réforme des retraites
Manifestation des enseignants et des parents d'élèves contre la réforme de l’enseignement,
À suivre Monsieur le Président
mardi 2 avril 2019
lundi 1 avril 2019
Jean ZIEGLER/Francis WURTZ
Un évènement à ne pas manquer
à Thonon le vendredi 24 mai,
dernier jour de la campagne des élections européennes
Jean Ziegler
sociologue, ancien conseiller spécial auprès de l'ONU, altermondialiste,
débattra avec
Francis Wurtz
député européen honoraire PCF,
sur le thème
"Comment dépasser les traités européens ?"
dans le cadre du soutien à la liste "
L'Europe des gens contre l'Europe de l'argent"
conduite par Ian BROSSAT.
Espace Tully 20h vendredi 24 mai.
vendredi 29 mars 2019
Comment rebâtir l'Europe
Avec ce nouveau hors-série, l’Humanité veut nourrir le débat sur les enjeux européens. Pourquoi en sommes-nous là, avec une Union européenne au bord de l’explosion et déjà en plein morcellement ? Que faire pour conjuguer l’union avec la solidarité, le progrès social, la protection de l’environnement ? Dos carré collé - format 20x28 - 84 pages
Organisons des écoutes collectives du débat du 4 avril
Ian Brossat sera en débat sur France 2 le 4 avril à partir de 21h pour les élections européennes. Organisons sur tout le territoire des écoute collectives.
L’originalité de notre liste
La liste conduite par Ian Brossat présente plusieurs singularités.
C’est la seule liste à gauche à avoir rejeté tous les traités européens néolibéraux. C’est la liste du monde du travail, une liste composée à 50 % d’ouvrier·e·s et d’employé·e·s, la liste qui fera élire la première ouvrière au Parlement européen.
Cette liste propose une union de peuples et de nations libres, souverains et associés que nous voulons faire émerger en combattant les logiques de la construction européenne actuelle et en portant des solutions de coopérations choisies, position d’autant plus pertinente à un moment où les débats sur le Brexit font la démonstration de la domination des forces les plus réactionnaires dans ce processus.
Cette liste avance des propositions à la fois radicales et crédibles qui incarnent « l’Europe des gens » que nous voulons construire, à l’opposé de la dictature de l’argent.
Cette liste fait le choix, face au dumping social, de mettre en avant la nécessité d’ « un travail qui paie pour une vie digne » des travailleurs·euses en Europe, comprenant notamment un Smic européen à 60 % du salaire net moyen de chaque pays et des dispositions pour contraindre les entreprises à l’égalité professionnelle femmes-hommes.
Face à la règle des 3 % maximum de déficit public, nous opposons notre propre règle d’or sociale et écologique, avec notamment l’ambition d’un plan d’urgence pour nos services publics et la transition écologique en réorientant la création monétaire.
Face à l’évasion fiscale, l’objectif de zéro fraude fiscale en Europe en interdisant les paradis fiscaux et en renforçant l’imposition des multinationales.
Cette liste a l’ambition d’une Europe de la paix et de la solidarité avec une baisse des dépenses militaires et une politique d’accueil des réfugié·e·s.
Aucune force ne porte de telles propositions politiques.
Ajoutons trois autres enjeux
Au regard de la montée en puissance des enjeux écologiques, formuler des propositions précises qui constituent un plan d’action susceptible d’atteindre les objectifs fixés par l’Accord de Paris sur le climat (avec en perspective l’idée d’une politique commune de l’énergie ambitieuse.)
Alors que le budget de la PAC représente 37 % du budget de l’UE et alors que l’exigence d’une alimentation de qualité pour toutes et tous et d’une juste rémunération des agriculteurs·trices grandit dans le pays, présenter nos propositions pour une nouvelle politique agricole et alimentaire commune permettant une transition vers un nouveau modèle de production alimentaire, riche en emplois durables, soucieux de la santé et de l’environnement. Face au danger que représentent les traités de libre-échange comme le CETA avec le Canada (qui nécessite une ratification des parlements nationaux, bloquée par l’Italie à cette heure) ou encore le JEFTA avec le Japon (qui a, quant à lui, été approuvé par le Parlement européen, les parlements nationaux n’étant pas, contrairement à ce dernier, consultés), révéler dans la campagne le contenu de ces traités largement méconnus de la population qui menacent nos droits sociaux, nos services publics et la transition écologique, et appeler à une large mobilisation. Rendre concrètes pour nos concitoyen·ne·s de grandes propositions que nous formulons comme la clause de l’européenne la plus favorisée, dont la conception doit d’ailleurs être étendue aux droits des personnes LGBTI.
Une vidéo de Ian Brossat
On est jamais déçu avec les député.e.s macronistes, jamais...
Jacques Marilossian, député (LREM) de Garches - Rueil - Saint-Cloud. Saint-Cloud,
face à Ian Brossat
face à Ian Brossat
mardi 26 mars 2019
Face au mouvement des Gilets jaunes
Face au mouvement des Gilets jaunes, aux mobilisations populaires, le président de la République a du ouvrir un grand débat national. Celles et ceux qui se sont exprimés y ont porté un message clair. Ils disent vouloir vivre dignement et être respectés. Ils disent que le travail doit payer. Ils disent que les injustices sociales et fiscales sont une honte. Ils disent, à l’échelle de leurs quartiers, de leurs lieux de travail, qu’ils veulent pouvoir décider. Ils disent que la fin du mois ne doit pas être opposé à la fin du monde. Ils attendent des réponses fortes et ambitieuses.
vendredi 22 mars 2019
L'EUROPE DES GENS
Ian Brossat remercie tous ceux qui se sont mobilisés pour permettre qu'il participe au grand débat de France 2 le 4 avril sur les européennes.
Edito de CommunisteS n°760
Europe : comment échapper au cauchemar nationaliste
Bruno Odent, auteur de libérons l’Europe », montre comment la régression nationaliste
qui émergesi fortement en Italie, en Hongrie ou en Autriche et menace l’UE de dislocation, ne constitue, à yregarder de plus près, que le couronnement d’un « modèle » en crise qui évolue déjà sur une penteautoritaire et post démocratique. Le devoir de la gauche est d’y résister pour promouvoir un autremodèle de coopération et de solidarité. Réalisation : Abrahim Saravaki
mardi 19 mars 2019
LA RIPOSTE PAIE
France 2 a finalement décidé de
nous inviter à l’Émission politique du 4 avril prochain
pour un grand débat sur les européennes.
Nous nous réjouissons de cette décision rendue possible
grâce à la formidable mobilisation de tous les communistes et de leurs soutiens.
Du hashtag #PasSansNous sur Twitter et Facebook, à l’assaut du standard de France 2 et des messageries de Delphine Ernotte ou du médiateur de France Télévision, tous ces gestes militants ont amené France 2 a revoir sa décision.
Nous pouvons nous et vous en féliciter et en être fier.
Suite à l’invitation de notre candidat, nous ne jugeons plus utile de maintenir la manifestation prévue devant France Télévision (esplanade Henri de France - Paris 15) le mardi 19 mars à 18h00.Cet évènement est donc annulé.
Pour autant, nous vous invitons à maintenir la mobilisation #PasSansNous et la veille sur les pratiques de l’ensemble des chaînes de télévision au cours de cette campagne afin que notre candidat puisse être invité à tous les grands évènements médiatiques.
C’est une belle victoire. Cela montre que quand on se mobilise on parvient à nos fins. On ne peut pas balayer les communistes d’un revers de main...
vendredi 15 mars 2019
Nous avons besoin de vous.
France 2 censure dans "L'ÉmissionPolitique" :
rassemblement mardi 19 mars à 18h00 devant le siège de France 2
Principale chaîne du groupe public
France Télévisions, France 2 organise le premier débat consacré aux élections européennes, jeudi 4 avril prochain, à l’occasion de "L’Émission politique"
En dépit de nos protestations, France 2 persiste à vouloir boycotter
Ian BROSSAT, chef de file de notre liste
« Pour l’Europe des gens, contre l’Europe de l’argent ».
« Pour l’Europe des gens, contre l’Europe de l’argent ».
Le PCF appelle
à un très large rassemblement,
mardi 19 mars à 18h00, devant le siège de France Télévisions
situé esplanade Henri de France (Paris 15e),
en présence de personnalités de la société civile,
de militant-es, de parlementaires et d'élu-es.
Nous avons besoin de vous.
Nous avons besoin de vous.
Nous avons besoin de vous.
Le 4 avril prochain, France 2 diffusera une "Émission politique" spéciale élections européennes. Le choix a été fait d’inviter sept candidats sur le plateau et de priver Ian Brossat et le PCF de ce premier grand moment de débat dans le cadre de la campagne européenne. C’est tout simplement inacceptable.
Comme vous l'avez peut-être vu sur les réseaux sociaux, nous avons lancé une campagne
#PasSansNous
afin d’obtenir la participation de Ian à cette émission.
Nous vous demandons de nous aider à faire grandir cette campagne en agissant très concrètement.
vous avez la possibilité d’agir de trois façons :
Noyer France télévision sous les appels et les mails :
Nous vous invitons à contacter directement le standard de France2 pour exprimer votre mécontentement. Vous pouvez les joindre au : 01 56 22 60 00
Vous pouvez aussi envoyer un mail à la Présidente de France télévision,
Delphine Ernotte : delphine.ernotte@francetv.fr.
Ou/et encore saisir le médiateur de France télévision en cliquant sur : MEDIATEUR DU FRANCETV
Occuper les réseaux sociaux
Sur Facebook : Nous vous invitions à vous inscrire (même si vous ne pouvez pas être physiquement là) et à partager très largement l’évènement que nous avons créé pour l'initiative que nous organisons, mardi 19 mars prochain à 18h, devant le siège de France Télévisions ( 7 Esplanade Henri de France Paris 15e)
Sur Twitter : N'hésitez pas à multiplier les tweets avec #PasSansNous.
vous pouvez faire des vidéos qui expliquent pourquoivous trouvez ça scandaleux, poster ta photo avec une feuille sur laquelle est
marqué #PasSansNous.
Nous vous demandons de nous aider à faire grandir cette campagne en agissant très concrètement.
vous avez la possibilité d’agir de trois façons :
Noyer France télévision sous les appels et les mails :
Nous vous invitons à contacter directement le standard de France2 pour exprimer votre mécontentement. Vous pouvez les joindre au : 01 56 22 60 00
Vous pouvez aussi envoyer un mail à la Présidente de France télévision,
Delphine Ernotte : delphine.ernotte@francetv.fr.
Ou/et encore saisir le médiateur de France télévision en cliquant sur : MEDIATEUR DU FRANCETV
Occuper les réseaux sociaux
Sur Facebook : Nous vous invitions à vous inscrire (même si vous ne pouvez pas être physiquement là) et à partager très largement l’évènement que nous avons créé pour l'initiative que nous organisons, mardi 19 mars prochain à 18h, devant le siège de France Télévisions ( 7 Esplanade Henri de France Paris 15e)
Sur Twitter : N'hésitez pas à multiplier les tweets avec #PasSansNous.
vous pouvez faire des vidéos qui expliquent pourquoivous trouvez ça scandaleux, poster ta photo avec une feuille sur laquelle est
marqué #PasSansNous.
Organisez des rassemblements
Nous vous invitons, en lien avec la section et la fédération du PCF, à organiser des rassemblements de type happening dans votre ville au cours desquels nous vous proposons de mettre des bâillons en brandissant les slogans Pas sans Nous, Pluralisme,
Démocratie… Nous vous conseillons d’inviter la presse à cette initiative.
Comme vous pouvez le voir, beaucoup de choses peuvent être faites pour en finir avec l’exclusion du PCF des médias.
Nous comptons sur vous. Nous pouvons gagner, ensemble, la participation de Ian BROSSAT à cette émission!
Bien fraternellement.
Nous demandons à ce qu’Ian BROSSAT puisse être invité au même titre que les autres têtes de liste.
Nous vous invitons, en lien avec la section et la fédération du PCF, à organiser des rassemblements de type happening dans votre ville au cours desquels nous vous proposons de mettre des bâillons en brandissant les slogans Pas sans Nous, Pluralisme,
Démocratie… Nous vous conseillons d’inviter la presse à cette initiative.
Comme vous pouvez le voir, beaucoup de choses peuvent être faites pour en finir avec l’exclusion du PCF des médias.
Nous comptons sur vous. Nous pouvons gagner, ensemble, la participation de Ian BROSSAT à cette émission!
Bien fraternellement.
Nous demandons à ce qu’Ian BROSSAT puisse être invité au même titre que les autres têtes de liste.
Ni plus, ni moins.
Comme en 2005 déjà, à l’occasion du référendum européen, les Français attendent
aujourd’hui une plus juste et sincère représentation des opinions.
La voix de la liste du PCF n’est réductible à celle d’aucune autre liste.
Le Parti communiste français est présent dans les deux assemblées,
avec plus de trente parlementaires qui prennent part
au fonctionnement institutionnel de notre pays.
Les Françaises et les Français se sont choisi plus de 7 000 élus locaux et nationaux
de notre famille politique pour les représenter, plus de 800 maires et trois parlementaires
européens pour faire entendre et respecter leur voix.
Nous sommes le seul parti de gauche à avoir rejeté tous les traités européens libéraux
depuis le début de la construction européenne.
Nous sommes la seule liste du paysage français à inclure dans ses rangs plus de
la moitié d’ouvrières et d’ouvriers, de femmes et d’hommes employés.
Comme en 2005 déjà, à l’occasion du référendum européen, les Français attendent
aujourd’hui une plus juste et sincère représentation des opinions.
La voix de la liste du PCF n’est réductible à celle d’aucune autre liste.
Le Parti communiste français est présent dans les deux assemblées,
avec plus de trente parlementaires qui prennent part
au fonctionnement institutionnel de notre pays.
Les Françaises et les Français se sont choisi plus de 7 000 élus locaux et nationaux
de notre famille politique pour les représenter, plus de 800 maires et trois parlementaires
européens pour faire entendre et respecter leur voix.
Nous sommes le seul parti de gauche à avoir rejeté tous les traités européens libéraux
depuis le début de la construction européenne.
Nous sommes la seule liste du paysage français à inclure dans ses rangs plus de
la moitié d’ouvrières et d’ouvriers, de femmes et d’hommes employés.
Nous sommes la seule liste en mesure de faire entrer au Parlement européen,
le 26 mai prochain, la première femme ouvrière de l’histoire en la personne
de Marie-Hélène Bourlard.
le 26 mai prochain, la première femme ouvrière de l’histoire en la personne
de Marie-Hélène Bourlard.
La dernière élection présidentielle a démontré qu’il était possible de proposer aux Français
des débats télévisés de qualité en y conviant l’ensemble des forces en présence.
C’est cela la vitalité de notre démocratie ; elle est une chance que chacune et chacun
devrait saluer.
C’est cela la vitalité de notre démocratie ; elle est une chance que chacune et chacun
devrait saluer.