Articles les plus consultés

jeudi 4 décembre 2025

THONON : NOS ACTIONS SANTÉ, VU DANS LA PRESSE - Le capitalisme, un horizon indépassable ? -

 


Suite à notre point presse sur les centres de santé de service public, deux articles dans le Dauphiné et le messager relatent la situation sur nos propositions et notre bataille pour la santé des Thononnaises et Thononais?

SANTÉ : LETTRE OUVERTE À CHRISTOPHE ARMINJON MAIRE DE THONON-LES-BAINS PRÉSIDENT DE THONON-AGLOMÉRATION

 Reprise des bâtiments libérés
par la Médecine du Travail rue des Tilleuls afin d'y installer un centre de santé public
.

Intervenant dans la lutte contre les déserts médicaux grandissants,
les communistes de la section du PCF Chablais sur le secteur de Thonon
ont émis cette lettre ouverte à destination de Christophe Arminjon,
Maire de Thonon et Président de l'agglomération de Thonon.

Parking devant le bâtiment principal de la Médecine du travail 


Le capitalisme, un horizon indépassable ?


Le mode de production est au cœur de la crise environnementale, économique et sociale. À l’heure du numérique, sa transformation semble difficile. Des alternatives existent pourtant.

Le capitalisme de monopole installé depuis les années 1980 accroît les inégalités et est inefficace. Un retour à un mode redistributif est indispensable

Patrick Artus

Conseiller économique d’Ossiam, membre du Cercle des économistes

Dans les années 1960-1970, le capitalisme américain était très redistributif. Le taux marginal d’imposition était compris entre 14 % et 20 % pour les 90 % d’individus au revenu le moins élevé et croissait beaucoup, passant de 20 % à 75 %, au fur et à mesure qu’il s’appliquait à des personnes de revenu de plus en plus élevé.

Jusqu’à la fin des années 1970, la protection sociale était devenue de plus en plus généreuse aux États-Unis. En conséquence de ces politiques, les inégalités de revenu ont diminué ainsi que les inégalités de patrimoine.

À partir de l’élection de Ronald Reagan, les États-Unis sont passés à une version néolibérale du capitalisme. La politique économique est caractérisée par une réduction forte des dépenses publiques et de la pression fiscale, le poids des impôts fédéraux dans le PIB baisse de 19,6 % en 1981 à 17,3 % en 1984 ; par des dérégulations (transport aérien, énergies, télécommunications, banque et finance) ; par l’introduction d’une forte concurrence et...

Suite dans l'Humanité
du 4 12 25




Le gouvernement décide d’augmenter les CEE, entraînant une hausse des carburants, du gaz et de l’électricité.

Un choix antisocial et antiécologique dont vont souffrir des millions de Françaises et de Français.

Le PCF appelle à annuler cette hausse et à réorienter ces 2 milliards pour la transition écologique !

Retrouvez le communiqué complet sur notre site et en story.




💧 92 % de l’eau en France contaminée par un « polluant éternel » (TFA).
L’Anses confirme l’ampleur du scandale : ces PFAS, toxiques et persistants, se retrouvent dans nos rivières, nos nappes et jusque dans l’eau du robinet.
Pendant que l’industrie chimique continue de polluer, le gouvernement tergiverse.
Le PCF exige l’interdiction des PFAS dangereux, la fin de l’impunité des pollueurs et un vrai plan public de dépollution.
✊️ Pour rejoindre la mobilisation pour un pôle public de l’eau, portée par le PCF, aimez, partagez et adhérez !










mercredi 3 décembre 2025

Macron veut créer un “ministère de la vérité” pour contrôler les médias ? - Défendre le revenu des artistes




 Une bataille sur la désinformation s’est ouverte entre l’Élysée et l’extrême droite. Le point de départ : une prise de parole d’Emmanuel Macron devant les lecteurs de la presse régionale à Arras le 19 novembre. Le président de la République a alors évoqué la mise en place d’un label pour les médias. Rapidement, l’extrême droite a réagi et s’est emballée, Pascal Praud parle de “tentation autoritaire” et de “Pravda”. De son côté, Jordan Bardella évoque lui un “ministère de la vérité”, en faisant référence au roman 1984 de George Orwell.
Pour comprendre la polémique, Clara Martinot, journaliste à l’Humanité, interroge Robin Andraca, journaliste à Arrêt sur images.



 Depuis quelques temps, nous préparons quelques vidéos pour faire connaître des luttes, mettre en lumière des situations, porter des voix que l’on entend pas assez.

🎥 Voici la première que nous vous proposons, et elle parle des artistes-auteurs et autrices avec Stéphanie Le Cam, enseignante-Chercheuse à l’Université Rennes 2.
Comme trop de personnes en France, ils et elles subissent la précarité de revenus fluctuants, d’absence de rémunération entre deux créations, et plus globalement de l’absence d’un statut protecteur et adapté. Mais ce n’est pas une fatalité.




 La Révolution Satie », une soirée en hommage au pianiste Erik Satie :

À 19h la causerie « Satie, le souffle d’une révolution musicale ? » entre Marc Dumont et Simon Garcia sera suivie du récital au piano de Martin Jaspard.

📆 Vendredi 12 décembre, Espace Niemeyer, Paris.




mardi 2 décembre 2025

Des « rats qui quittent le navire » Expression populaire devenue condamnable ? - Pour la réalisation des droits nationaux du peuple palestinien - Non à la flambée des prix


Dans l'Humanité d'aujourd'hui

 Les grands patrons qui délocalisent, 

des « rats qui quittent le navire » 
: Sophie Binet mise en examen 
pour « injures publiques »


La secrétaire générale de la CGT, Sophie Binet, a été mise en examen pour « injures publiques » après avoir comparé les grands patrons menaçant de délocaliser leurs entreprises à des « rats qui quittent le navire ». La centrale syndicale dénonce, dans un communiqué, une « énième procédure-bâillon » et une « attaque d’un degré inédit » alors qu’il s’agit de « la 5e procédure judiciaire contre un membre du bureau confédéral en 2 ans ».

Si on était taquins, on dirait qu’« on ne peut plus rien dire »… Parce que les grands patrons n’aiment pas voir leur image écornée. Ce sont des gens susceptibles. Au point de porter plainte si une dirigeante syndicale a l’audace de les qualifier de « rats (qui) quittent le navire » dont « le seul objectif est l’appât du gain ». Pour cette comparaison, et comme le veut une procédure quasi-automatique, Sophie Binet est mise en examen pour « injures publiques ».

La secrétaire générale de la CGT l’a elle-même annoncé sur France Inter ce mardi matin : « J’étais extrêmement choquée parce qu’en disant cela, je n’ai fait que mon travail de syndicaliste, à savoir dénoncer les inégalités de répartition des richesses et le fait que les milliardaires paient toujours moins d’impôts et ne se sentent plus responsables de l’emploi en France. »

« Nous voulons un budget qui répond aux urgences sociales » : la CGT, Solidaires et la FSU se mobilisent contre l’austérité et les coupes budgétaires

 
Face à l’austérité, la CGT, Solidaires et la FSU ne désarment pas. Ce 2 décembre, les trois centrales syndicales appellent à une journée de mobilisation interprofessionnelle contre le budget 2026, pour les salaires et pour l’abrogation de la réforme des retraites. « Nous appelons à une journée d’alerte rouge », résume la secrétaire générale de la CGT, Sophie Binet, alors que 160 manifestations et rassemblements sont attendus.

« Entre le 2 et le 9 décembre, l’Assemblée nationale examinera en seconde lecture le projet budgétaire de la Sécurité sociale (PLFSS), note la cégétiste. Lors de la première mi-temps de mobilisation, nous avons marqué des points. Nous entrons désormais dans une séquence décisive. »



Non à la flambée des prix, oui à une transition juste !

En catimini le gouvernement vient de décider par décret au mois de novembre d’augmenter de 2 milliards d’euros les Certificats d’Economie d’Energie payés par les fournisseurs d’énergie. Les répercussions vont être immédiates, dès le 1er janvier : 6 centimes par litre d’augmentation du prix des carburants, 3,5% d’augmentation estimée du prix du gaz…

Le gouvernement a pris cette décision pour compenser 2 milliards de baisse de crédits de l’Etat dans le cadre du budget 2026, pour financer la transition écologique, en particulier l’aide MaPrimeRenov finançant les travaux de rénovation des logements, et les aides aux achats de voitures électriques.

Rien ne va dans cette décision qui est en réalité antisociale et antiécologique !

Non seulement les consommateurs vont payer à la place du budget de l’Etat et les catégories populaires et moyennes beaucoup plus en proportion de leurs revenus que les plus riches mais en plus le montant ne permet pas en plus de financer à un bon niveau la transition écologique.

Il va manquer 4 milliards au budget de l’ANAH pour répondre aux besoins de rénovation. La situation est la même pour les aides à l’achat de véhicules électriques, beaucoup trop faibles pour les catégories populaires. Il faudrait là aussi plusieurs milliards d’euros supplémentaires.

Le PCF appelle le gouvernement à :

  • Remettre en 2026 les 2 milliards de budget pour la transition écologique existants en 2025
  • Annuler cette augmentation des CEE, et donc celle des prix des carburants, du gaz et de l’électricité.
  • Ajouter 10 milliards immédiatement pour financer les besoins de rénovation et les aides à l’achat de véhicules électriques.

Ces dépenses indispensables peuvent être financées par le fonds d’avances de 100 milliards d’euros en 2026 proposé par le PCF ainsi que par une fiscalité plus juste comme le permettrait par exemple la création d’une taxe additionnelle à la taxe sur les bureaux dans les secteurs les plus favorisés.

Non à une augmentation des prix de l’énergie qui touche en premier lieu les catégories populaires et moyennes. Oui à des financements justes socialement pour plus d’investissements dans la transition écologique, pour rénover en profondeur plus de 400 000 logements en 2026, et faire enfin décoller les ventes à prix abordable de voitures électriques produites en France.

Paris, le 2 décembre 2025  Parti Communiste Français




Publié le 28 novembre 2025

 L’annonce du cessez-le-feu à Gaza et la libération des otages israéliens ont suscité un soulagement pour toutes celles et tous ceux qui, dans le monde, n’ont jamais renoncé à faire advenir une paix dans la justice entre Israéliens et Palestiniens. La résolution 2803 (2025) de l’ONU exige la pleine application du cessez-le-feu et l’entrée d’une aide humanitaire massive à Gaza. Rien n’est cependant réglé pour le peuple palestinien. 

L’entreprise génocidaire, perpétrée contre la population gazaouie deux années durant par le gouvernement d’extrême droite israélien, comme les politiques d’épuration ethnique et les crimes commis par l’armée et les colons en Cisjordanie et à Jérusalem-Est, représentent une des pires catastrophes vécues par les Palestiniens. L’exercice de leurs droits nationaux et la reconnaissance pleine et entière de leur indépendance restent entièrement à construire. 

Seule une résolution politique du conflit, à partir du respect des droits nationaux du peuple palestinien et de la création d’un État de Palestine aux côtés de l’État d’Israël, en application des résolutions des Nations unies, permettra l’instauration d’une paix durable dans cette région. Cette solution politique doit être mise en œuvre avec l’Organisation de libération de la Palestine, seule représentante légitime du peuple palestinien, et sur la base de la Charte dont elle s’est dotée.

La reconnaissance de l’État de Palestine par la France en compagnie de neuf autres États, 37 ans après sa proclamation par l’OLP, est un important pas en avant. De même, la déclaration du 29 juillet dernier de la Conférence internationale de haut niveau des Nations unies, à l’initiative de la République française et du Royaume d’Arabie saoudite, a ouvert des perspectives prometteuses en ce sens. Il convient, à présent, de confirmer l’espoir qui s’est ainsi dessiné, en concrétisant la solution à deux États.

Le PCF et l’OLP ont signé un premier appel commun le 29 novembre 2024. Depuis, la conférence internationale du 4 juin 2025, organisée par le PCF et l’OLP, a jeté les bases de l’Alliance internationale pour les droits nationaux du peuple palestinien.

Nous saluons la conférence tenue à Rome le 18 novembre 2025 avec l’OLP et le Parti de la refondation communiste qui participent de la même démarche.

À l’occasion de la Journée internationale pour les droits du peuple palestinien, le PCF et l’OLP : – réaffirment ensemble leur combat commun pour la mise en place d’un État de Palestine pleinement souverain, aux côtés de l’État d’Israël, sur la base des frontières de 1967, donc pour la fin de l’occupation et de la colonisation israéliennes.

dénoncent toute tentative, d’où qu’elle vienne, de nier la souveraineté de l’État de Palestine, représenté par l’OLP, à Gaza, à Jérusalem-Est et en Cisjordanie, qui reviendrait à perpétuer la violation du droit international.  

- appellent les opinions et toutes les forces éprises de paix à soutenir les efforts de l’Organisation de la Palestine pour que le peuple palestinien puisse renouveler ses institutions et ses représentants par un vote qui ne soit pas entravé par la violence militaire et l’occupation israélienne.      

– demandent que des sanctions économiques, financières et commerciales soient prises contre le gouvernement israélien, tant que le droit international ne sera pas respecté par lui. L’accord d’association entre l’Union européenne et Israël doit être au plus vite suspendu.

– exigent la libération des prisonniers politiques palestiniens, dont celle de Marwan Barghouti.

29 novembre 2025









lundi 1 décembre 2025

« Nous voulons un budget qui répond aux urgences sociales » - En 2024, l'industrie de l'armement atteint son chiffre d'affaire le plus élevé de l'histoire


« Nous voulons un budget qui répond aux urgences sociales » : l'intersyndicale se mobilise contre l’austérité et les coupes budgétaires
Ce 2 décembre, la CGT, Solidaires et FSU appellent à battre le pavé, alors que les discussions autour des lois de finances s’enlisent. Les perspectives austéritaires inquiètent les centrales, mais aussi le monde associatif.

Face à l’austérité, la CGT, Solidaires et la FSU ne désarment pas. Ce 2 décembre, les trois centrales syndicales appellent à une journée de mobilisation interprofessionnelle contre le budget 2026, pour les salaires et pour l’abrogation de la réforme des retraites. « Nous appelons à une journée d’alerte rouge », résume la secrétaire générale de la CGT, Sophie Binet, alors que 160 manifestations et rassemblements sont attendus.

« Entre le 2 et le 9 décembre, l’Assemblée nationale examinera en seconde lecture le projet budgétaire de la Sécurité sociale (PLFSS), note la cégétiste. Lors de la première mi-temps de mobilisation, nous avons marqué des points. Nous entrons désormais dans une séquence décisive. »

4 000 suppressions d’emplois dans l’éducation nationale

Faute d’unité syndicale plus large...Suite dans l'Humanité





La demande en armes ne cesse d’augmenter à travers le monde, alerte l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm, dans un rapport publié lundi 1er décembre. Avec une hausse de 5,9 % sur un an, les ventes des cent plus puissants fabricants d’armes au monde ont atteint un nouveau record en 2024. Le point avec Benjamin König et Clara Martinot. ABONNEZ-VOUS à la chaîne de l'Humanité    / @lhumanitefr   📰 Vous avez aimé cette vidéo ? Pour une info 100% libre et engagée, ABONNEZ-VOUS : https://abonnement.humanite.fr







vendredi 28 novembre 2025

Encore 300 Palestiniennes et Palestiniens ont encore été tués - Déclaration commune de l’OLP et du PCF - Tous présents pour demander la nationalisation d’ArcelorMittal !

🇵🇸 Face à l’urgence à Gaza, le cessez-le-feu a apporté un soulagement légitime. Mais depuis son entrée en vigueur, 300 Palestiniennes et Palestiniens ont encore été tués, tandis qu’aucune perspective politique crédible ne se
 dessine.

La France, avec neuf autres États, a enfin reconnu l’État de Palestine : un premier pas historique, qui a contraint Washington à agir pour stopper les bombardements. Mais cela ne suffit pas.
Il est temps de concrétiser la solution à deux États, sur la base des frontières de 1967, avec Jérusalem-Est pour capitale.


Pendant ce temps :
➡️ l’extrême droite au pouvoir en Israël poursuit ses projets d’annexion ;
➡️ les colonies s’étendent en Cisjordanie ;
➡️ Gaza reste privée de souveraineté ;
➡️ le gouvernement Netanyahou continue de menacer toute la région.

Le PCF réaffirme sa solidarité avec l’OLP, seule représentante légitime du peuple palestinien, et avec les forces de paix en Israël comme en Palestine.
L’heure est au respect du droit international :

📌 organiser l’aide humanitaire d’urgence à Gaza ;
📌 prendre des sanctions économiques et commerciales contre le gouvernement israélien et suspendre l’accord UE–Israël ;
📌 agir pour que les responsables des crimes — dirigeants israéliens comme du Hamas — soient jugés ;
📌 obtenir la libération des prisonniers politiques palestiniens, dont Marwan Barghouti.

Le PCF appelle à marcher massivement le 29 novembre, Journée internationale de solidarité avec le peuple palestinien.

📣 Rendez-vous à Paris, 13h30, place de la République, au croisement avec la rue du Faubourg-du-Temple.

Pour la paix, la justice et les droits du peuple palestinien.


🎙️
 Déclaration commune de l’OLP et du PCF : Pour la réalisation des droits nationaux du peuple palestinien

À la veille de la Journée internationale pour les droits du peuple palestinien, le cessez-le-feu à Gaza et la libération des otages apportent un soulagement.

Mais après deux ans d’entreprise génocidaire, d’épuration ethnique et de crimes, rien n’est réglé : les droits nationaux palestiniens restent à conquérir.

Le PCF se tient aux côtés de l’OLP pour exiger :
🔴 Un État souverain de Palestine (sur les frontières de 1967)
🔴 Des sanctions contre le gouvernement israélien & suspension de l’accord UE–Israël
🔴 Des élections libres pour le peuple palestinien.
🔴 Libération des prisonniers politiques, dont Marwan Barghouti.