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vendredi 29 juillet 2016
mardi 26 juillet 2016
"Que demande le peuple " sur la route du Tour
Jeudi 21 Juillet:
Course contre la montre Sallanches Megève .
La fédé 74 s'est organisée pour aller à la rencontre des citoyens. Nous étions 8 .
Point de ralliement chez Gilbert
juste en dessous de la fameuse côte de Domancy.
Aprés petit café, nous voilà partis avec questionnaires, table, affiches.
Un monde fou !
Pendant le passage de la caravane ,c'est impossible d'établir un dialogue:chacun veut ramasser le plus d'objets publicitaires possible.
Nous avions un peu près une heure avant le passage des premiers coureurs.
Nous avons posés la table vers le bas et nous avons remonté la route .Quelques refus mais toujours très cordiaux mais aussi des personnes qui prennent le temps .De toutes sortes ...des jeunes dont un qui le rempli honnêtement mais qui pense que la droite c'est mieux,des copains sympathisant content de nous voir ,un jeune militaire en vacances qui estime qu'il ne devrait pas faire du maintien de l'ordre, des familles ...
Bilan 43 questionnaires et quelques uns distribués
avec des promesses de regarder de plus près ...l'espoir fait vivre !
Mais dès les premiers coureurs le contact devient difficile
alors on plie bagage pour casser la croûte chez Gilbert.
Repas fraternel ,belle ambiance et nous sommes retournés voir le Tour .
Quant à être là , allons voir les champions !
A chacun d'imaginer comment faire remplir ce questionnaires par
le plus de personnes possibles:c'est la seule façon d'engager
les campagnes électorales présidentielles et législatives
sur un socle construit par les citoyens
sur lequel s'engageront les futurs candidats.
Rendez-vous le 12 aout
aux Nocturnes Chablaisiennes et à la foire de crête !
Jean-philippe
mercredi 20 juillet 2016
ÉTAT D'URGENCE :
« Nos groupes parlementaires ne voteront pas la
prolongation »
(Pierre Laurent)
Cinq jours après la terrible tuerie de Nice, qui a vu les vies de 84
femmes, hommes et enfants fauchées et des centaines d'autres blessées ou
marquées pour toujours, notre nation reste endeuillée et profondément
choquée. Cette folie terroriste aveugle a plongé le pays dans un
angoissant questionnement sur les motivations du meurtrier Mohamed
Lahouij-Bouhlel et sur les moyens de faire face à la terreur que
cherchent à imposer de tels actes.
Au chagrin s'est mêlée depuis la colère devant les polémiques et les
surenchères indécentes auxquelles se sont livrés sans recul nombre de
responsables politiques.
Dès le 15 juillet, le Parti communiste français a refusé ce manque de
dignité en appelant à la solidarité et au respect des familles
endeuillées, en demandant le temps nécessaire à l'enquête et à la
réflexion pour évaluer les nouvelles mesures à prendre face au palier
franchi dans l'horreur. D'autres, singulièrement à droite et à l'extrême
droite, ont préféré faire assaut de déclarations irresponsables et de
surenchères sans fondement. Oui, nous le redisons avec force, contre la
marée nauséabonde de tous les démagogues, il va falloir raisonner,
penser pour pouvoir agir mieux et plus efficacement contre la menace
terroriste grandissante, contre la violence criminelle qui se pare
d'alibis ou de mobiles religieux ou politiques, et contre les haines et
les divisions.
Le gouvernement a décidé, sans débat, de prolonger l'état d'urgence,
sous la pression de la droite et de l'extrême droite qui veulent durcir
encore le régime d'exception.
Or, force est de constater que l'état d'urgence n'a pas permis d'éviter
le carnage de Nice, dans une ville que les élus de droite ont faite
laboratoire de leurs expérimentations sécuritaires.
Avant d'annoncer précipitamment sa prolongation, le président de la
République venait de la déclarer inutile en indiquant que les lois
récemment votées après son déclenchement permettaient de prendre le
relais. Le risque s’accroît donc d'une dérive répressive sans efficacité
pour la sécurité de nos concitoyen-ne-s, et d'une atteinte à nos
libertés publiques fondamentales.
Nos groupes parlementaires ne voteront donc pas cette prolongation.
Nous appelons en revanche à une réorientation profonde de nos politiques
nationales, européennes et internationales. La lutte contre l'action
terroriste et l'insécurité du monde est inséparable de la reconstruction
d'une nouvelle civilisation commune à toute l'humanité.
Riposter à la violence terroriste et au projet politique meurtrier et
dictatorial de Daesh, par la seule voie militaire, par l'engagement de
notre pays dans une logique de guerre aveugle, sans stratégie politique
visant le retour de la paix et de la sécurité internationale est une
grave erreur. Elle alimente la propagande de Daesh sur les esprits qu'il
domine.
Tous les promoteurs et artisans de la logique de « guerre des
civilisations », depuis Daesh jusqu'à ceux qui prétendent la combattre
sur le même terrain, entraînent notre pays et l'humanité dans une voie
sans issue.
Les communistes appellent à résister à cette logique meurtrière, à faire
reculer ensemble les violences, les haines et les politiques de la peur.
Nous avons, ensemble, la capacité de rejeter le terrorisme et tout ce
qui le nourrit, ici en France et ailleurs dans le monde où les guerres
et le chaos qu'elles entraînent lui servent de terreau pour son
développement.
La France doit enfin accepter de réviser en profondeur ses choix
internationaux pour des évolutions de paix au Proche-Orient et en
Afrique. Les peuples du Proche-Orient et d'Afrique y aspirent
profondément ; ce sont eux et les forces démocratiques et pacifiques que
la France doit soutenir avec ardeur.
Ici en France, il est temps de déclarer l'état d'urgence sociale afin de
stopper les politiques d'austérité (baisse des dotations aux
collectivités locales, suppression de services et de personnel) et de
déployer des moyens sans précédent de présence de l’État et des services
publics dans tous les territoires de la République.
Sécurité de proximité, éducation, santé publique, accompagnement
psychiatrique, prévention, aide psychologique, lutte contre les
violences faites aux femmes, contre les trafics mafieux… sont des
priorités d'une urgence absolue
C'est seulement dans ce cadre nouveau que les efforts immenses faits par
les services de sécurité, de police et de gendarmerie, dont il faut
saluer le dévouement, trouveront leur pleine efficacité.
Au-delà, c'est un autre avenir de développement et de solidarité, un
avenir d'humanité commune, qu'il faut mettre à l'ordre du jour, en
France, en Europe et dans le monde. Nous ne voulons plus de ce monde de
l'argent, des concurrences et des guerres, qui nourrit tous les égoïsmes
et les racismes.
Contre le déferlement de haine et de démagogie qui ouvrent aujourd'hui
la voie aux populismes en tous genres et aux extrêmes droites violentes
et xénophobes, les communistes œuvreront sans relâche pour que notre
peuple, et toutes celles et ceux qui ont choisi la France pour y vivre,
puissent débattre sereinement et démocratiquement de ces enjeux majeurs.
2017 sera pour cela une année cruciale durant laquelle nous ne
laisserons pas le débat politique se rouler dans la fange.
Notre pays mérite mieux, afin de construire un dialogue avec les forces
démocratiques du monde pour une humanité de paix, d'égalité et de partage.
Pierre Laurent, secrétaire national du PCF, Paris, le 19 juillet 2016.
mercredi 13 juillet 2016
Radio « NO PATXARAN »
(le patxaran: la liqueur des Dieux basques)
Jean Ortiz
Chers amis et camarades et amies, Ici « Radio No patxaran », la radio non liquoreuse.
1. Manuel Valls n’a pas « dévasté » le groupe socialiste, comme éditorialisent les médias. Les députés socialistes se sont laissés dévaster. Ils se sont pliés, délibérément, une nouvelle fois, à l’insu de leur plein gré, parce qu’ils partagent l’orientation sociale-libérale de leur parti, et parce que la soupe est bonne. Entre une investiture pour 2017 et les quelques restes (chez quelques uns) de mauvaise conscience: y’a pas photo !! Qu’un gamin craigne des « sanctions » familiales, passe... Mais que des représentants de la République « se couchent » 49 fois sous la menace d’un fort en gueule version « tigre de papier », il faut vraiment qu’ils aient sommeil .
2. Quant aux « flingueurs », leurs frondes ne vont pas jusqu’au bout de leurs responsabilités. A vouloir à la fois « censurer » le gouvernement et participer à la primaire « Sauvons le soldat Hollande », leurs couteaux perdent toute lame. En ont-ils eu un jour ? Quant à Montebourg, il n’en finit pas de montebourguer, de faire le grand écart. Attention aux déchirures musculaires !
3. Comment donc être « lisibles » si l’on bâtit une stratégie politique, partiellement certes, sur des sables mouvants, sur de la pacotille, sur des caméléons politiciens, sur de l’électoralisme à quatre sous ? Après les 49.3, la dérive liberticide du pouvoir , la répression « de gauche », qui peut se faire encore des illusions sur « les socialistes », les « bons » ; les « mauvais » ? Depuis longtemps déjà, les masques sont tombés. Et encore ; encore une nouvelle fois. Combien en faudra-t-il pour bannir cette maladie tenace : la « socialo-dépendance » ? Pour bâtir une « majorité sociale » solide ; pour travailler à la convergence de tous les secteurs, courants, organisations, mouvements, anticapitalistes, et ouvrir au « mouvement social » enraciné un débouché « radical », de rupture avec le système ?
Les gouvernants hollandistes et les dirigeants du PS s’accordent sur l’essentiel : en finir avec la gauche de transformation sociale, avec toute approche de « lutte des classes », comme si l’on pouvait empêcher le soleil de briller, liquider la CGT, « à la méthode Tchatcher », « recomposer » les forces syndicales et politiques, fragmenter, diviser, disputer à la droite le titre de champion d’Europe des gérants loyaux du système et de l’« alternance» sans risques pour le capital.
Comment attendre d’un cognassier qu’il donne des oranges ?
5. Heureusement qu’il nous reste l’instrumentalisation du fouteubool. A la une du « Figaro » du 12 juillet, le spécialiste des buts contre son camp pose, entouré de Noirs, de Blancs, de Métis ; tous bleus, « inconsolables », et le chef de l’Etat, « aficionado » désintéressé, « tente de les consoler ». Tiens, tiens ... Il y aurait-il les bons et les mauvais « étrangers » ? « Regrets éternels » écrit le quotidien.
Cette équipe, selon un Catalan fils de l’immigration huppée, était « invincible » à domicile. Faut croire que le dos mi cible était mal ciblé. En tout cas, pas Ronaldo, qui prit un sacré tampon dès le début... J’étais devant la télé, sans favori, juste pour voir des artistes, certes scandaleusement friqués, mais artistes quand même : le « duende » de Ronaldo, les facéties des surperdoués Renato Sanches, le « maestro » « Grizou », Antoine Griezmann, l’infatigable et virevoltant Coman, Paul Pogba, le bulldozer haut de gamme, la forteresse du Real, Pepe... A partir de « la blessure » de Ronaldo, je l’avoue, je me suis « portougalisé ». Aujourd’hui, en lisant de nombreux commentaires, j’ai l’impression que ces pauvres « sudistes », jamais couronnés, « saudadisés», ont volé leur victoire. « Motivés, motivés, motivés !!». Le chauvinisme oublie que l’on joue aussi au ballon avec la tête, et avec la tronche.
6. Emmanuel Macron, lui, le caïmanesque ministre de l’Economie (grande fortune malgré lui), modeste ailier droit, lui, des Bleus gouvernementaux, « tacle », selon le terme de nombreux journaleux clonés, le petit chef (de l’Elysée). Deux jours avant la dernière intervention publique hollandaise du quinquennat (prions pour que le quinquineur arrive à terme sans chuter au-dessous des 5%), Manu, lui, se fait « une Mutu » médiatisée à mort. Poings serrés et cravatés. En arrière toutes encore plus vite ! Des clichés qui puent le sarkozysme ripoliné.
Cela ne se fait pas camarade banquier; griller le président, cela relève des mauvaises manières, de la subversion totale par le bottin bourge, les réseaux financiers, les clubs de riches, les vrais flambeurs, les affameurs, les parachutés dorés... les loups, oups ! Rien à voir avec le partage naturel des tâches et des rôles, par les maîtres du pouvoir, afin de continuer à remplir leurs coffres à pépètes, quelle que soit la casaque « libérale » du candidat ou de l’élu. Eux, ils savent faire converger, et sur l’essentiel, sur des positions de classe. « Primaire mon cher Watson ! ». Primaire !
2. Quant aux « flingueurs », leurs frondes ne vont pas jusqu’au bout de leurs responsabilités. A vouloir à la fois « censurer » le gouvernement et participer à la primaire « Sauvons le soldat Hollande », leurs couteaux perdent toute lame. En ont-ils eu un jour ? Quant à Montebourg, il n’en finit pas de montebourguer, de faire le grand écart. Attention aux déchirures musculaires !
3. Comment donc être « lisibles » si l’on bâtit une stratégie politique, partiellement certes, sur des sables mouvants, sur de la pacotille, sur des caméléons politiciens, sur de l’électoralisme à quatre sous ? Après les 49.3, la dérive liberticide du pouvoir , la répression « de gauche », qui peut se faire encore des illusions sur « les socialistes », les « bons » ; les « mauvais » ? Depuis longtemps déjà, les masques sont tombés. Et encore ; encore une nouvelle fois. Combien en faudra-t-il pour bannir cette maladie tenace : la « socialo-dépendance » ? Pour bâtir une « majorité sociale » solide ; pour travailler à la convergence de tous les secteurs, courants, organisations, mouvements, anticapitalistes, et ouvrir au « mouvement social » enraciné un débouché « radical », de rupture avec le système ?
Les gouvernants hollandistes et les dirigeants du PS s’accordent sur l’essentiel : en finir avec la gauche de transformation sociale, avec toute approche de « lutte des classes », comme si l’on pouvait empêcher le soleil de briller, liquider la CGT, « à la méthode Tchatcher », « recomposer » les forces syndicales et politiques, fragmenter, diviser, disputer à la droite le titre de champion d’Europe des gérants loyaux du système et de l’« alternance» sans risques pour le capital.
Comment attendre d’un cognassier qu’il donne des oranges ?
5. Heureusement qu’il nous reste l’instrumentalisation du fouteubool. A la une du « Figaro » du 12 juillet, le spécialiste des buts contre son camp pose, entouré de Noirs, de Blancs, de Métis ; tous bleus, « inconsolables », et le chef de l’Etat, « aficionado » désintéressé, « tente de les consoler ». Tiens, tiens ... Il y aurait-il les bons et les mauvais « étrangers » ? « Regrets éternels » écrit le quotidien.
Cette équipe, selon un Catalan fils de l’immigration huppée, était « invincible » à domicile. Faut croire que le dos mi cible était mal ciblé. En tout cas, pas Ronaldo, qui prit un sacré tampon dès le début... J’étais devant la télé, sans favori, juste pour voir des artistes, certes scandaleusement friqués, mais artistes quand même : le « duende » de Ronaldo, les facéties des surperdoués Renato Sanches, le « maestro » « Grizou », Antoine Griezmann, l’infatigable et virevoltant Coman, Paul Pogba, le bulldozer haut de gamme, la forteresse du Real, Pepe... A partir de « la blessure » de Ronaldo, je l’avoue, je me suis « portougalisé ». Aujourd’hui, en lisant de nombreux commentaires, j’ai l’impression que ces pauvres « sudistes », jamais couronnés, « saudadisés», ont volé leur victoire. « Motivés, motivés, motivés !!». Le chauvinisme oublie que l’on joue aussi au ballon avec la tête, et avec la tronche.
6. Emmanuel Macron, lui, le caïmanesque ministre de l’Economie (grande fortune malgré lui), modeste ailier droit, lui, des Bleus gouvernementaux, « tacle », selon le terme de nombreux journaleux clonés, le petit chef (de l’Elysée). Deux jours avant la dernière intervention publique hollandaise du quinquennat (prions pour que le quinquineur arrive à terme sans chuter au-dessous des 5%), Manu, lui, se fait « une Mutu » médiatisée à mort. Poings serrés et cravatés. En arrière toutes encore plus vite ! Des clichés qui puent le sarkozysme ripoliné.
Cela ne se fait pas camarade banquier; griller le président, cela relève des mauvaises manières, de la subversion totale par le bottin bourge, les réseaux financiers, les clubs de riches, les vrais flambeurs, les affameurs, les parachutés dorés... les loups, oups ! Rien à voir avec le partage naturel des tâches et des rôles, par les maîtres du pouvoir, afin de continuer à remplir leurs coffres à pépètes, quelle que soit la casaque « libérale » du candidat ou de l’élu. Eux, ils savent faire converger, et sur l’essentiel, sur des positions de classe. « Primaire mon cher Watson ! ». Primaire !
jeudi 7 juillet 2016
À VOUS LA PAROLE
LA GRANDE CONSULTATION
CITOYENNE
CITOYENNE
Vous en avez assez de voir la parole populaire méprisée, ignorée, trahie. Vous voulez être entendus. Vos exigences, exprimées et rassemblées doivent former un mandat populaire incontournable. Sans vous, rien ne se fera. A vous d’écrire la politique. A vous la parole. Les communistes viendront vous voir pour recueillir votre opinion et vous engager dans la Grande consultation citoyenne. Celle-ci traduira la volonté populaire. Parallèlement, le PCF lance un appel pour que, d'ici octobre, le peuple écrive un Pacte d'engagements communs et départage par des primaires-votations citoyennes, ceux qui seraient en accord pour le porter à l'élection présidentielle de 2017.
Vous pouvez télécharger le questionnaire pour le remplir ou le faire remplir avant de nous le retourner ( par la poste à l'adresse indiquée ou scané par mail à pcf@pcf.fr ) Vous pouvez aussi remplir le questionnaire directement par internet sur le site www.lagrandeconsultationcitoyenne.fr
Loi El-Khomri, austérité, brexit, Europe...
Ecoutez le peuple !
http://www.pcf.fr/89732
Le Parti communiste a pris une décision : construire avec vous les solutions et l'issue. Il engage une Grande consultation citoyenne pour recueillir les avis de plus de 500 000 personnes et élaborer à partir de ces avis un pacte d'engagements communs pour 2017. Participez-y.
Echec de la motion de censure :
"Un sentiment de colère"
(Pierre Laurent)
J'etais ce soir au meeting contre la loi travail à l'appel des organisations syndicales.
Au soir de cette journée qui a vu une nouvelle fois échouer à 2 voix, le dépôt d'une motion de censure de gauche, je veux dire mon sentiment de colère qui est le mien.
Ainsi, grâce à l'arme anti-democratique du 49-3, à l'abstention volontaire de la droite, au manque de courage d'une partie des députés socialistes, la loi travail va être adoptée malgré l'opposition majoritaire du pays et l'absence de majorité au parlement.
Le combat n'est pas terminé. Les parlementaires communistes resteront aux côtés des salariés mobilisés pour mettre en échec ce déni démocratique.
Je salue les 56 députés Front de gauche, socialistes, écologistes
qui ont signé la motion de censure.
Nous serons au rendez-vous de nouvelles mobilisations.
Pierre Laurent, secrétaire national du PCF
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