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mercredi 13 août 2025

Lithium : l’Amérique du Sud prise au piège de l'extractivisme

Lithium : l’Amérique du Sud prise au piège de l'extractivisme


 De l’Argentine au Brésil, la demande exponentielle en or blanc destinée aux batteries électriques a engendré un véritable essor de l’exploitation. Sur place, les permis se multiplient au même rythme que les atteintes socio-environnementales.

On va les appeler les invisibles. Celles et ceux dont l’avenir vaut moins que des batteries lithium-ion, vivant au beau milieu de régions riches en terres rares, fondamentales à la bonne marche de la transition énergétique. Parmi ces ressources, le métal alcalin est sans doute le minéral le plus précieux de notre époque : c’est grâce à lui que roulent les véhicules électriques.

En résulte une course à l’or blanc, déclenchée notamment dans ce qu’on appelle le triangle du lithium. Des gisements souterrains à cheval entre la Bolivie, l’Argentine et le Chili, qui concentrent à eux seuls plus de la moitié des ressources mondiales en lithium, d’après l’organisme fédéral United States geological survey (USGS).

Les populations ne voient pas la couleur des bénéfices

Les sous-sols de ces pays recèlent respectivement 21 millions, 20 millions et 11 millions de tonnes identifiées, toujours selon l’USGS. Là-bas, l’extraction du minerai n’est pas sans conséquences. Un rapport publié mardi 12 août en partenariat avec la Fédération internationale pour les droits humains (FIDH) met en lumière une multitude d’atteintes dont sont victimes la douzaine de peuples autochtones du coin, parmi lesquels les Aymara, les Quechua, les Atacameño ou encore les Kolla.  ...



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vendredi 8 août 2025

« CE N'EST PAS AUX INDUSTRIELS DE DÉCIDER DE NOTRE AGRICULTURE». - DE L'ARGENT POUR DES CANADAIRS ET NON POUR DES RAFALES.

les opposants à la loi Duplomb se préparent à poursuivre le combat à la rentrée

 


La décision du Conseil constitutionnel de censurer l’article sur la réintroduction de l’acétamipride constitue une première victoire pour les opposants rassemblés ce jeudi à Paris. Mais loin d’être un épilogue, ce succès renforce le combat contre un modèle agricole jugé toxique : la mobilisation citoyenne, loin de s’éteindre, s’annonce déjà pour la rentrée.

À quelques heures de la décision du Conseil constitutionnel sur la loi Duplomb, ce jeudi 7 août, l’ambiance est étonnamment douce, rue de Montpensier, dans le 1er arrondissement de Paris. Une femme à vélo s’arrête, intriguée : « Mais qu’est-ce qu’ils attendent tous ? ».

Quelques journalistes braquent leurs objectifs sur la façade austère du Conseil – faute de mieux pour le moment. Autour d’eux, quelques dizaines de personnes et d’associations, munies de drapeaux et de banderoles, attendent tranquillement le verdict. Le calme avant la tempête ?



Le conseil constitutionnel censure partiellement la loi Duplomb et invalide la réintroduction de l'acétamipride

Même partielle, c’est une victoire pour les opposants à la loi Duplomb. Ce jeudi 7 août, le Conseil constitutionnel a rendu sa décision autour du texte controversé. Résultat : la réintroduction de l’acitamépride, pesticide de la famille des néonicotinoïde, est censurée.

Contestée par plus de 2,1 millions de personnes signataires d’une pétition demandant son abrogation, la loi Duplomb prévoit la réintroduction de l’acétamipride, pesticide interdit en France depuis 2018, pour une durée minimum de trois ans. Bien que plusieurs études internationales pointent sa nocivité sur la biodiversité, mais aussi sur les humains, et qu’il existe de nombreuses alternatives, comme l’a rappelé l’Anses (agence nationale de sécurité sanitaire) ces dernières semaines.

D’autres part, le texte porté par le sénateur LR entend faciliter la construction de méga-bassines, ces retenues d’eau artificielle réservée à une minorité d’agriculteurs, tous serviteurs de l’agro-industrie, en les élevant au rang de projets « d’intérêt général majeur ». Par ailleurs, pour favoriser l’élevage intensif, les seuils réglementaires pour qu’un élevage soit soumis aux autorisations environnementales, ont été relevés. Des points pour leur part validés par le Conseil constitutionnel.

Autant de points qui ont provoqué de vives inquiétudes, mais qui ne sont pas les seuls éléments problématiques. La loi Duplomb s’attaque également aux agences de contrôle, comme l’Office français de la biodiversité (OFB). Celle-ci passe par ces dispositions sous la tutelle des préfets. Ce qui fait craindre à ses agents de possibles pressions politiques visant à éviter que certaines remontées soient faites à l’autorité judiciaire.


Un débat confisqué

A l’initiative de la saisine du Conseil constitutionnel, les parlementaires de gauche voyaient un texte incompatible avec le principe de précaution en matière de santé et contraire à la Charte de l’environnement qui est à valeur constitutionnelle, citant « le droit de vivre dans un environnement équilibré et respectueux de la santé ».

Des dispositions par ailleurs adoptées sans débat dans l’hémicycle, au grand désarroi de ces élus. « Nous voulions saisir l’opportunité de ce texte pour un vrai débat sur l’agriculture, rappelle le député écologiste Benoît Biteau, pour qui la seule menace sur la souveraineté alimentaire, « c’est l’effondrement de la biodiversité, le dérèglement climatique, pas la suppression d’une molécule ou d’une autre ». Saisi aussi sur ce point, le Conseil a jugé que la procédure d’adoption du texte était conforme à la Constitution.


Incendies dans l'Aude : « Nous vivons une double catastrophe, écologique et économique » alerte le maire PCF de Camplong-d’Aude



Le mégafeu de Ribaute (Aude), un désastre en lui-même, intervient sur un territoire déjà éprouvé par les crises viticoles et par une sécheresse sans précédent, où les flammes trouvent un terrain d’autant plus favorable.



Avec le gigantesque incendie qui dévore les Corbières depuis mardi 5 août vers 16 heures, le pays cathare endure un martyre. Camplong-d’Aude, petite commune située au pied du mont Alaric, à un jet de pierre du départ de l’incendie, à Ribaute, a été épargnée de justesse par les flammes.

Mais son maire, Serge Lépine (PCF), joint mercredi matin par l’Humanité, redoute que cette nouvelle catastrophe porte le coup de grâce à ce territoire historique de la viticulture française, déjà en grande difficulté économique.

Votre commune a-t-elle été touchée par l’incendie ?

Serge Lépine

Maire PCF de Camplong-d’Aude (Aude)

Non, nous avons eu de la chance, Camplong a été épargnée. La tramontane, qui souffle terriblement depuis le nord-ouest, a poussé les flammes à toute vitesse directement de Ribaute vers Tournissan et Saint-Laurent-de-la-Cabrerisse, qui ont brûlé. C’est là qu’il y a des victimes.











 




Guerre à Gaza : Netanyahou impose son projet d’occupation totale de l’enclave palestinienne malgré les appels à un cessez-le-feu

L’armée israélienne d’occupation, bras armé du génocide en cours dans la bande de Gaza, police de la colonisation dans l’ensemble des territoires palestiniens – Cisjordanie et Jérusalem-Est comprises –, se présente maintenant comme le rempart seul à même de limiter les plans de Benyamin Netanyahou. Faut-il que ce dernier soit allé loin en détruisant l’image d’Israël par ses plans génocidaires !

Jeudi 7 août, au soir, lors de la réunion du cabinet de sécurité convoqué par le premier ministre israélien, le chef d’état-major, le général Eyal Zamir, a redit son opposition à l’occupation totale de Gaza. 75 % de l’enclave palestinienne – ou ce qu’il en reste – se trouvent pourtant déjà sous contrôle de l’armée de Tel-Aviv.

Benyamin Netanyahou déterminé à contrôler Gaza

Selon les médias israéliens, le plus haut gradé a averti que « l’occupation de la bande de Gaza entraînerait Israël dans un trou noir – prenant la responsabilité (du sort) de 2 millions de Palestiniens, nécessitant une opération de nettoyage de plusieurs années,...


Guerre à Gaza : la Slovénie interdit l’importation de produits des colonies israéliennes

Depuis plus d’un an, dans le droit fil de son histoire, Ljubljana porte une position courageuse sur la reconnaissance de la Palestine et la vente d’armes à Israël. Le pays, qui fait du respect du droit international une pierre angulaire de sa diplomatie, jette une lumière crue sur l’attentisme de ses partenaires européens. Il a également entamé un rapprochement avec le Sud global.

jeudi 7 août 2025

PLUS JAMAIS HIROSHIMA I PLUS JAMAIS NAGASAKI ! PLUS JAMAIS DE BOMBE ! PLUS JAMAIS !

Il y a 80 ans

Publié le 05 août 2025

Il y a 80 ans, les 6 et 9 août 1945 ont eu lieu les bombardements criminels d'Hiroshima et de Nagasaki par l'armée des Etats-Unis d'Amérique. L’emploi de bombes atomiques a provoqué plusieurs centaines de milliers de morts civiles, de blessés et de vies piétinées sur plusieurs générations parmi les habitant-e-s de ces deux villes et leurs environs. Les survivants appelés « Hibakusha » qui souffrent encore 80 ans après des conséquences de ces armes, poursuivent avec détermination leur lutte pour leur élimination totale, ce qui leur a valu l’attribution du Prix Nobel de la paix 2024 pour leur association Nihon Hidankyo.

Docteur 'FOLAMOUR'

Le Parti communiste français salue la délégation d’une centaine de citoyens français qui seront présents à Hiroshima et Nagasaki du 2 au 13 août pour participer à la conférence internationale contre les bombes A et H et aux cérémonies qui marqueront les 80 ans des bombardements atomiques par les USA sur Hiroshima et Nagasaki. Cette délégation à laquelle participent des maires et élus communistes aux côtés d’organisations pacifistes et de syndicalistes engagés dans la lutte pour le désarmement nucléaire et la paix a pour objectif de construire les convergences d’actions nécessaires pour parvenir à l’élimination des armes atomiques.


En effet, 80 ans après Hiroshima et Nagasaki, la menace nucléaire s’est considérablement accrue. Dans les conflits en cours, en Ukraine ou au Moyen-Orient, le recours à l’arme nucléaire est devenu une option régulièrement évoquée ! D’autres foyers de crise comme
l’Inde et le Pakistan ou l’Asie du Sud-Est opposent des pays dotés de l’arme nucléaire. La dissuasion nucléaire devient menace et provocation nucléaires. La compétition exacerbée entre les grandes puissances, la course au surarmement, la militarisation poussée par l’OTAN et l’Union Européenne et l’augmentation vertigineuse des budgets d’armement rendent cette menace de nouveau très concrète. En France, la politique de défense du président Emmanuel Macron se réduit de plus en plus à l’agitation de la question nucléaire, ce qui extrêmement dangereux.

Dans ce contexte d’urgence internationale, le Parti communiste français appelle à ce que la France prenne des initiatives politiques et diplomatiques fortes pour conjurer le péril d’une guerre nucléaire et fasse entendre une voix indépendante contribuant à ouvrir les chemins de la sécurité humaine collective.

Le PCF appelle au respect des engagements internationaux de la France, en particulier de l’article 6 du Traité de non prolifération (TNP) et qu’elle rejoigne le vaste mouvement des États qui ont signé et ratifié le Traité international d’interdiction des armes nucléaires (TIAN), entré en vigueur le 22 janvier 2021. En agissant en faveur d’un processus de désarmement nucléaire multilatéral, global et négocié, la France répondrait aux attentes de très nombreux pays qui souhaitent développer un véritable multilatéralisme porteur de coopération et de sécurité collective, ce qui permettrait en outre à notre pays de s'émanciper de la tutelle des Etats-Unis et de l'OTAN.

C'est dans cet esprit que le PCF entend contribuer et participer massivement à toutes les mobilisations qui se préparent en France et au niveau international pour dire Non à l'engrenage de la guerre ! Oui à une politique de désarmement nucléaire global et multilatéral !

Plus jamais Hiroshima ! Plus jamais Nagasaki !

Paris, le 5 août 2025

Parti communiste français.

mercredi 6 août 2025

UN BIEN TRISTE ANNIVERSAIRE ET DES COMMÉMORATIONS RAREMENT À LA HAUTEUR DE CE DRAME MONSTRUEUX

80 ans après, la droite japonaise piétine la mémoire des bombardements d'Hiroshima et Nagasaki 

Les 6 et 9 août 1945, les habitants de Hiroshima et Nagasaki subissaient l’indicible horreur de la bombe A. Lentement mais sûrement, les partis de droite du Japon, seul pays dans l’histoire visé par le feu atomique, tentent d’effacer cette mémoire et de renouer avec un passé belliciste.



Hiroshima, Tokyo (Japon), envoyé spécial.

Le ciel est gris, pesant, comme s’il n’avait pas craché tous ses flocons ce matin de mars. Le centre de Hiroshima est encore trempé, presque gelé, et les bonnets et doudounes progressent jusqu’au mémorial, entre deux bras de la rivière Ota.

Il est difficile d’imaginer que l’un des plus grands drames de l’histoire contemporaine s’est joué dans cette ville quasiment reconstruite. Le 6 août 1945, à 8 heures 15 du matin, la bombe atomique « Little Boy » est larguée par un avion états-unien sur le pont d’Aioi, dans l’hypercentre de Hiroshima.


À Hiroshima, un passé nucléaire toujours très présent

En quelques secondes, 70 000 personnes meurent, 70 000 autres les suivront du fait des radiations. La moitié de la ville. Trois jours plus tard, c’est « Fat Man » qui tue 80 000 personnes à Nagasaki. Aujourd’hui, il ne reste à Hiroshima que le dôme de Genbaku, dont le squelette de pierre et de fer a résisté malgré sa proximité avec l’hypocentre de la bombe.








mardi 5 août 2025

1975 – 2025 : À l'encontre des politiques de blocs, faire revivre l'esprit d'Helsinki. -




Publié le 01 août 2025

Il y a 50 ans à Helsinki, dans le cadre de la Conférence sur la Sécurité et la Coopération en Europe (CSCE), était signé le 1er août 1975 l’ « Acte Final d’Helsinki », également appelé « Accords d’Helsinki », marquant une étape décisive de l’histoire d’après-guerre en Europe.

A partir de 1973, en pleine guerre froide, la CSCE a constitué une instance multilatérale de dialogue et de négociations entre la quasi-totalité des pays de l’Est et de l’Ouest de l’Europe, les Etats-Unis et le Canada. Ayant pris conscience que la poursuite de la confrontation entre les blocs comportait le risque de passer de la guerre froide à de véritables conflits et de déclencher une catastrophe nucléaire, les parties concernées ont voulu consacrer les principes d’une politique de détente fondée sur la reconnaissance de l’inviolabilité des frontières et de l’intégrité territoriale des Etats, le renoncement à la menace et à l’emploi de la force et le règlement pacifique des différends, la non-ingérence dans les affaires intérieures d’autres Etats, le respect des droits humains et des libertés fondamentales, l’égalité des droits et le droit d’autodétermination des peuples.

Les Accords d’Helsinki ont constitué les fondements des mesures destinées à faire naître la confiance et des négociations de désarmement multilatéral. La Conférence d’Helsinki a nourri l’espoir d’établir une nouvelle ère de démocratie et de paix en Europe, en particulier lors du Sommet de la CSCE à Paris en 1990 où furent signés à la fois le Traité sur les forces armées conventionnelles (FCE) et la « Charte de Paris pour une nouvelle Europe » qui propose un modèle d’Europe démocratique basé sur la coopération et la prévention des conflits en réalisant une architecture de sécurité paneuropéenne. En 1995, la CSCE se transforme en Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe (OSCE), organisation permanente dédiée à la sécurité européenne selon les principes des Accords d’Helsinki.

50 ans après Helsinki, force est de constater que tous les espoirs de voir disparaître les dangers de guerre en Europe avec la fin de la confrontation des blocs se sont avérés illusoires. La guerre fait rage en Ukraine suite à l’agression du pouvoir russe au mépris de tous les principes du droit international. L’OTAN, après une expansion à l’est au mépris des principes de la sécurité collective, pousse à la militarisation accrue des relations internationales et prépare les esprits à une guerre d’ampleur, avec le soutien de l’Union Européenne. Ces développements résultent en particulier du fait que les principes d’Helsinki ne sont plus respectés, que l’esprit d’Helsinki a disparu des relations entre Etats et que l’OSCE ne s’est jamais vu attribuer le rôle qui aurait dû lui revenir. Les déclarations et annonces du président de la République du 13 juillet dernier, qui accentue les politiques de blocs, vont à l’encontre de la sécurité collective.

L’un des acquis majeurs du processus de la CSCE et de l’Acte final d’Helsinki, c’est la nécessité de construire un système de sécurité collective en Europe. Il s’agit d’une exigence cruciale pour l’avenir même du continent, alors qu'il fait aujourd’hui face à une relance de la confrontation entre puissances et la domination des politiques de force à Washington, à Moscou, à Paris, à Berlin et dans nombre de capitales européennes.

En cette date anniversaire de la signature de l’Acte final d’Helsinki, le Parti Communiste Français appelle à faire revivre l’esprit d’Helsinki, celui de la coopération et de la sécurité commune
s’oppose résolument aux orientations militaristes de l’Union Européenne et à la course aux armements voulue par l’OTAN
propose d’organiser la sortie de la France du commandement intégré de l’OTAN comme première étape vers la sortie et la dissolution de l’OTAN
appelle à des initiatives politiques fortes, telle une conférence « Helsinki 2 », en vue de créer un espace de sécurité collective et de coopération pour l’Europe entière incluant la Russie.
soutient activement toutes les actions et mobilisations des forces de paix en Europe qui luttent contre la militarisation et la course aux armements et pour un système de sécurité collective reprenant les principes de l’Acte final d’Helsinki.


Paris, le 1er août 2025

Parti Communiste Français.


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vendredi 1 août 2025

Méga-bassines, pesticides, élevage intensif : l’écologie mis au second plan

 

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La Fête de l'Humanité a lieu sur la Base 217 

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Loi Duplomb : comment l’État organise son impunité judiciaire face aux atteintes à l’environnement

Avec la loi Duplomb, le gouvernement poursuit la logique qui est la sienne depuis des années : protéger l’État des recours juridiques visant à le condamner pour ses pratiques néfastes pour la biodiversité. Avec pour conséquence d’affaiblir le droit de l’environnement et de rendre inatteignables certains objectifs climatiques.

C’est une véritable star. Pas de celles que l’on côtoie sur le tapis rouge, certes, mais elle n’en fait pas moins la une, et déchaîne les passions, tristes ou révoltées, et leurs cris azimutés.

Depuis son adoption en commission mixte paritaire le 26 mai, la loi du sénateur « Les Républicains » (LR) Laurent Duplomb est au centre des attentions, celles de ses défenseurs forcenés comme de citoyens inquiets.

Au point que deux millions de personnes ont signé, en peu de temps et en plein cœur de l’été, une pétition demandant son abrogation pour le danger qu’elle représente pour la biodiversité, la santé et le monde agricole.

Méga-bassines, pesticides, élevage intensif : l’écologie mis au second plan

Derrière ces points de tension représentés par la réintroduction de pesticides, la facilitation de construction de méga-bassines ou l’accélération de l’élevage intensif, une autre conséquence restée pour l’heure sous les radars est à craindre : l’impunité juridique de l’État face aux recours régulièrement portés (et remportés) par les défenseurs de l’environnement.

« Cela s’inscrit dans l’affaiblissement progressif du droit de l’environnement constaté depuis plusieurs années », se désole l’avocate spécialisée Mathilde Lacaze-Masmonteil. Depuis l’accession au pouvoir d’Emmanuel Macron,...



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jeudi 31 juillet 2025

ARRÊTONS L'IMPÉRIALISME AMÉRICAIN - FRANCHISES DOUBLÉES : INJUSTICES RENFORCÉES

 Arrêtons l’impérialisme américain


Ce
que Trump et Von der Leyen appellent un "accord", c’est en réalité une véritable déclaration de guerre contre les peuples européens.

➡ Hausse des droits de douane, achat forcé de pétrole et d’armes made in USA, chantage géopolitique :Refusons des mesures dévastatrices pour le coût de la vie, les salaires, l'emploi et le climat.Elles viendront justifier de nouveaux plans de licenciements, de fermetures et de délocalisations.
🔥 Le coût de l’électricité et du gaz restera élevé pour les ménages comme pour les entreprises.L’achat de 250 milliards par an d’énergie aux États-Unis marquera un immense recul écologique.
🗳 La France, par la voix de son président, doit exiger la tenue d’un conseil européen exceptionnel. De même, la France et ses parlementaires européens comme nationaux doivent appeler à convoquer les parlements au plus vite. Chaque nation de l’UE, comme pour la ratification d’un traité, a le pouvoir de dire NON !
✊ Le Parti communiste français appelle à un large mouvement de résistance des nations et des peuples de tous les continents face à l’impérialisme américain.
📢
Reprenons la main ! Bloquons cet accord !



Franchises doublées :
injustices renforcées
Le gouvernement punit les malades... En doublant le plafond des franchises médicales, il fait passer la facture de 50 à 100 € par an pour chaque assuré·e.
➡ Ce sont les personnes malades, âgées ou précaires qui paieront le prix fort.
➡ Ce sont les traitements réguliers, les consultations, les soins du quotidien qui deviennent plus difficiles d’accès.
Pendant ce temps, les exonérations de cotisations patronales explosent et les profits des labos pharmaceutiques battent des records.
📣 La santé n’est pas un marché. Elle est un droit pour toutes et tous.
✊ Le Parti communiste français propose une autre voie : une Sécurité sociale 100 % solidaire, financée par les cotisations sociales, sans reste à charge pour les patient·es.
🟥 Non à l’augmentation des franchises. Oui à la justice sociale



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Les dates de la Fête de l'Humanité 2025

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La Fête de l'Humanité a lieu sur la Base 217 

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