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mercredi 24 septembre 2025

Le logement c’est un droit qui doit être constitutionnalisé. - Lecornu reste sourd : les syndicats annoncent une grève le 2 octobre. - Ils auraient aimé ce lundi 22 septembre 2025

 Le logement n’est pas qu’une condition de la vie en dignité, c’est un droit qui doit être constitutionnalisé.

Journée riche de rencontres au congrès HLM pour les élus communistes.

Objectif : porter haut le combat contre les logiques de profit et mettre le logement public au coeur d'une stratégie planificatrice de l'Etat.


Le logement est devenu le symbole d’une société fracturée : des millions de Français n’ont plus accès à un toit digne.

Ce n’est pas une fatalité, mais la conséquence directe des choix politiques d’Emmanuel Macron depuis 2017.

En 7 ans, la part des dépenses publiques pour le logement est tombée à 1,4 % du PIB.

Pendant ce temps : spéculation immobilière, explosion des loyers, effondrement du pouvoir d’achat…
Résultat : pour les classes populaires jusqu’à une partie des classes moyennes, l’accès au logement est devenu impossible.

Des solutions existent.

🏘️ Construire et réhabiliter 200 000 logements publics par an.

📉 Encadrer réellement les loyers.

🔑 Relancer l’accession sociale à la propriété.

🏠 Remettre sur le marché plus d’1 million de logements vacants.

Une politique du logement ambitieuse, c’est bien plus que des chiffres :

➡️ un levier de justice sociale,
➡️ un outil de transition écologique,
➡️ un moteur pour l’emploi et la formation dans le bâtiment.

La France des bâtisseurs peut relever ce défi.

🚩 C’est le sens du pacte d’avenir que nous proposons : 500 milliards d’euros sur 5 ans pour relancer la construction, renforcer les HLM, investir dans la rénovation thermique et inscrire le logement comme un droit constitutionnel.

📆 À l’occasion du congrès HLM (23-25 sept.), nous appelons les forces de gauche, syndicales et progressistes à s’unir pour en faire une priorité nationale.







Rencontre avec Sébastien Lecornu à Matignon : à sa sortie, l’intersyndicale propose une nouvelle grève le 2 octobre


Les huit confédérations syndicales (CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, Unsa, FSU, Solidaires) étaient reçues ce mercredi à Matignon. Malgré les journées de mobilisations du 10 et 18 septembre et la censure de François Bayrou, son successeur, Sébastien Lecornu, s’accroche aux mesures austéritaires. Les syndicats mettent sur la table une nouvelle grève pour le 2 octobre.


Sans grande surprise, la « rupture » et la concertation promues par Sébastien Lecornu ne déboucheront pas sur une remise en cause de la politique de l’offre à l’œuvre depuis 2017 par Emmanuel Macron. Forte du million de personnes mobilisées le 18 septembre, l’intersyndicale, (CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, Unsa, FSU, Solidaires) était reçue à Matignon ce mercredi 24 septembre, à l’issue de l’ultimatum lancé par ces centrales la semaine dernière.

« On attendait des réponses claires mais aucune n’a été apportée, pour l’intersyndicale le compte n’y est pas. Aucune piste du gouvernement précédent n’est enterrée », glisse à l’Humanité un participant.

Nouvelle journée de grève 

le jeudi 2 octobre












 Ils auraient aimés ce lundi 22 septembre
 2025






Ils auraient aimés 
ce lundi 22 septembre
 2025


Accompagnée de ses homologues, la secrétaire générale de la CFDT annonce une nouvelle journée de grève le jeudi 2 octobre, sous condition de validation des instances syndicales respectives. Dans la foulée, Sophie Binet, secrétaire générale de la CGT assure qu’« aucun élément précis sur la justice fiscale n’a filtré de cet échange ».

Pour rappel, l’intersyndicale dénonce le « musée des horreurs » du budget présenté en juillet par François Bayrou et ses 44 milliards d’euros d’austérité auxquels l’exécutif n’a pas renoncé, en dehors de la suppression initialement envisagée de deux jours fériés. Ce projet compte notamment une réforme de l’assurance-chômage, le gel des prestations sociales, des salaires des fonctionnaires, la désindexation des pensions de retraite, le doublement des franchises médicales, la remise en cause de la 5e semaine de congés payés ou encore des suppressions de postes dans les services publics.

La réaction en vidéo de notre journaliste, Naïm Sakhi

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Ils auraient aimé ce lundi 22 octobre 2025


Après tant d'années de misère de drame et de lutte enfin un premier résultat.
Depuis 80 ans nous, communistes, sommes aux cotés de la Palestine et du peuple palestinien. Mais la reconnaissance n'est pas la PAIX, il faut continuer.