LES DEPUTES DU GROUPE GDR DE L'ASSEMBLEE NATIONALE RASSEMBLANT COMMUNISTES ET ULTRA-MARINS UTILISENT LEUR NICHE PARLEMENTAIRE POUR AMELIORER LA VIE DE NOS CONCITOYENS.
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Reprise des bâtiments libérés par la Médecine du Travail rue des Tilleuls afin d'y installer un centre de santé public . Intervenant d...
vendredi 6 juin 2025
RETRAITES, SALAIRES, EMPLOIS: MEME COMBAT! (2ème épisode)
jeudi 5 juin 2025
L'ASSEMBLEE NATIONALE PEUT ENFIN VOTER ET DU COUP VOTE POUR L'ABROGATION DE LA REFORME DES RETRAITES PORTANT L'AGE DE DEPART A 64 ANS!
mardi 3 juin 2025
lundi 2 juin 2025
LE COMBAT CONTINUE: MOBILISATION PARTOUT EN FRANCE CE 5 JUIN 2025
jeudi 12 décembre 2024
samedi 28 septembre 2024
LA DETTE, LA DETTE ET RIEN QUE LA DETTE?
Pas un centime
pour l’école ou pour l’hôpital,
mais 413 milliards d’euros pour l'armée
une explosion sans précédent
du budget militaire.
Depuis plusieurs semaines la musique est lancinante. Gouvernement démissionnaire comme nouveau, journalistes, experts autoproclamés… tous s’accordent à dire que la France est au bord du gouffre à cause du déficit et de la dette. Le scénario catastrophe qui nous est promis n’a qu’un objectif : préparer le terrain pour un nouveau tour de vis sur les salaires et les services publics. La droite et les macronistes expliquent que l’envolée de la dette est le résultat de dépenses sociales trop importantes, dans lesquelles il va falloir encore faire des coupes (on peut penser aux retraites). Ce coup de force idéologique est là pour cacher la réalité ; celle d’un Etat dont le budget est mis depuis des années au service des intérêts des plus riches de ce pays.
jeudi 26 septembre 2024
lundi 5 juin 2023
mercredi 31 mai 2023
APPEL A MANIFESTER LE 6 JUIN ET A PARTICIPER AU DEBAT CE 1ER JUIN
LE COMBAT N'EST PAS TERMINÉ
Débattons-en ensemble !
JEUDI 1er JUIN à 18h30
Amphithéâtre de Tully à Thonon, avec
dimanche 28 mai 2023
JUSTINE TRIET S'EXPRIME CONTRE LA REFORME DE NOTRE SYSTEME DE RETRAITE
Je pense qu’une grande partie d’entre vous ont vu la cérémonie de clôture du festival de Cannes hier soir, en direct ou sur les infos. Justine Triet a remportée la palme d’or du Festival. Dans son discours elle a avec force critiqué la réforme des retraites à 64 ans mais aussi la perte de l’exception culturelle Française.
Depuis le gouvernement, la droite et l’extrême droite se sont lancés sur les réseaux sociaux, et dans les grands médias dans une campagne de dénigrement mensongère contre cette importante créatrice et réalisatrice de cinéma. Preuve qu’elle a raison et que la liberté d’expression n’existe plus dans notre pays. C’est aussi une violente attaque contre toute la création et la culture.
Laurent Wauquiez en est un grand spécialiste en supprimant des subventions à tout ce qui bouge dans la culture.
Il faut absolument la soutenir face à ce déferlement de mensonges et de haine.
mercredi 24 mai 2023
mardi 30 mars 2021
BILLET D'HUMEUR DE PIERRE VILAR (21/03/30)
A PROPOS DE LA PROPOSITION SUR LES DONATIONS DEFISCALISEES
lundi 10 février 2020
9 SEMAINES CONTRE LA DESTRUTION DE L'HUMAIN
dimanche 19 mai 2019
Pour l'Europe des gens
mercredi 3 avril 2019
Histoire d’une petite ville ordinaire en l'an 2019
Trente mille habitants sur les bords du lac Léman. Là où il devrait faire bon vivre : paysages magnifiques, le lac, la plage, la montagne, le ski, l’alpinisme et les promenades. Là où on a voté Macron et élu une députée LRem (en marche arrière).
Et pourtant...
Pas un mois sans plusieurs ;manifestations de presque toutes les catégories de la population.
Pour la défense de l’hôpital, des ehpad, des retraites, des lycéens, des enseignants, de l'école publique, des gilets jaunes, du secteur public, du climat...
Et à chaque fois en présence de plusieurs centaines de manifestants, du rarement vu dans cette ville.
Alors Monsieur le Président Macron 1er ?
Pourtant votre députée Madame Lenne doit bien vous faire remonter ces impatiences du peuple, du "petit peuple", à moins que vous ne l’écoutiez pas non plus...
Monsieur le President Macron 1er,
mercredi 6 février 2019
« TOUS ENSEMBLE »
vendredi 1 février 2019
RETRAITE.
«Vraiment c’est incroyable, ce gouvernement nous méprise, méprise le peuple », réagit vivement Michelle Toto, une ex-employée de la Ville de Paris, pancarte sur la poitrine listant ses revendications, en tête desquelles l’augmentation des pensions à 1 500 euros comme l’exige la CGT. Sa retraite s’élève à 1 200 euros par mois, amputée de 45 euros de CSG. sa colère éclate à l’écoute du compte rendu de la rencontre avec le secrétaire d’État aux Comptes publics, Olivier Dussopt, qui s’était déroulée plus tôt dans la matinée. « Nous n’avons rien obtenu de satisfaisant. Nous avons posé douze questions qui toutes tendaient à demander : “Comment allez-vous préserver le pouvoir d’achat des retraités ?” Sachant qu’il s’agissait d’une promesse de campagne électorale d’Emmanuel Macron. Il nous a clairement été dit que sur la CSG en particulier et l’indexation des pensions sur l’inflation, rien ne changera », explique Didier Hott (FO), porte-parole de l’intersyndicale regroupant neuf organisations de retraités. Plusieurs d’entre elles appellent d’ailleurs à se mobiliser le 5 février, à l’occasion de la journée d’action interprofessionnelle.
« Nous perdons un à un nos acquis sociaux »
C’est justement « pour se faire entendre d’Emmanuel Macron » que les retraités CGT des Hauts-de-Seine ont sorti les casseroles, provoquant un joyeux tintamarre. De ce côté du cortège, l’augmentation des pensions d’au moins 200 euros est une urgence, de même que l’arrêt du prélèvement de la CSG. « On ponctionne les retraités alors qu’on exonère les plus riches de l’ISF. C’est franchement injuste ! » explique une manifestante. Guy Delecray, syndicaliste FO, ancien directeur d’école dans le Val-de-Marne, partage les mêmes urgences : « Revalorisation des pensions et des salaires et la CSG », précise-t-il, s’excusant presque. Depuis le 1er juillet 2018, la hausse de la CSG s’est traduite par une ponction de 45 euros par mois, soit 600 euros an sur sa pension. Même punition pour sa femme, également enseignante retraitée, soit une perte de 1 200 euros par an pour le couple. « De toute façon, nous perdons un à un nos acquis sociaux. Et ce gouvernement nous ment ! » s’insurge Éléonore, ex-cadre à l’OCDE. Ni syndiquée, ni engagée en politique, elle a endossé un gilet jaune depuis plusieurs semaines. Et manifeste « naturellement » ce jeudi.
mercredi 10 octobre 2018
Retraites : mobilisons-nous !
Que sait-on du projet de réforme du gouvernement ? Elle touchera tout le monde le public comme le privé et tous les régimes existants, y compris les régimes spéciaux et complémentaires. On changera totalement de système : la validation de trimestres par son salaire ou son revenu sera remplacée par le paiement de cotisations pour acheter des points. Et le niveau de votre pension dépendra de la valeur du point au moment où vous prendrez votre retraite. Sous couvert de simplification et d’égalité, le principe « un euro cotisé donne les mêmes droits » va remettre en cause les mécanismes de redistribution et de solidarité.
Trois risques importants de cette réforme :
Vous n’aurez pas de visibilité sur le montant de votre retraite car cela dépendra de la valeur du point que vous ne pouvez pas connaître à l’avance. Avec ce système, les cotisations sont définies et les pensions s’adaptent aux sommes collectées alors que dans le système actuel le niveau des retraites est garanti et les cotisations sont adaptées pour faire face aux dépenses ce qui permet de maintenir le pouvoir d’achat des retraités.
Le calcul des retraites fait sur l’ensemble de votre carrière sera bien moins favorable qu’aujourd’hui car le système actuel garanti la prise en compte des 25 meilleures années pour le privé et les six derniers mois pour le public.
Le calcul des retraites ne prendra pas en compte les inégalités et va donc les creuser, des inégalités telles que la pénibilité, différente entre ouvriers et cadres, ou les carrières discontinues et précaires, qui touchent plus souvent les femmes que les hommes.
Ainsi le plus probable est que la réforme conduise à un allongement de la durée de cotisation et un effondrement généralisé des pensions. 99 % des salarié.es n’auront jamais le nombre de points nécessaires à un niveau de retraite digne et seront donc incités à recourir aux fonds de pensions et à l’épargne privée !
Le projet gouvernemental remet en cause les principes de la Sécurité sociale en matière de retraite : la répartition, les prestations définies et la solidarité entre générations, entre les actives.ifs et les retraité.e.s, entre les femmes et les hommes, entre les salarié.e.s, entre le public et le privé. C’est un immense recul de société.
Une retraite vraiment humaine offerte à toutes et tous suppose qu’on cesse de voir dans les individus de simples « facteurs de production », jetables dès qu’ils ne sont plus utiles, et qu’on fasse de l’émancipation à tous les âges de la vie le sens même de l’organisation sociale.
A l’opposé du projet gouvernemental, nous proposons de remettre sur le métier la grande œuvre du communiste Ambroise Croizat, en allant au bout de l’ambition de la Sécurité Sociale pour construire une sécurité sociale universelle du XXIe siècle pour sécuriser tous les moments de la vie avec notamment un nouveau progrès du système de retraite.
Des propositions existent pour de meilleures retraites pour toutes et tous !
Créer une sécurisation de l’emploi et de la formation pour éradiquer le chômage et la précarité. Cela permettrait une cotisation tout au long de la vie pour garantir de meilleures retraites. 100 000 emplois = 1,5 milliards d’euros pour la sécurité sociale ; 1% d’augmentation générale des salaires = 2 milliards de cotisations supplémentaires
Garantir le droit de partir à 60 ans avec une retraite digne : d’au moins 75 % du revenu d’activité pour une carrière complète (37,5 ans de cotisations).
Créer une « Maison commune des régimes » pour organiser les solidarités internes aux régimes et entre régimes, l’égalité femmes/hommes, la reconnaissance de la pénibilité, la prise en compte des carrières longues, les solidarités financières entre régimes avec le retour à des élections sociales permettant de réintroduire la démocratie dans la gestion du système des retraites.
Les revenus financiers doivent contribuer au financement des retraites : alors que ces revenus ne cessent de progresser au détriment des salaires, nous devons imposer de les faire cotiser au même taux que la cotisation patronale assise sur les salaires. Cela rapporterait 27 milliards d’euros à la sécurité sociale. Nous proposons également de moduler les cotisations en fonction de la politique d’emploi et de salaire de l’entreprise.
mardi 9 octobre 2018
QUOI DE PLUS BEAU !
mercredi 23 mai 2018
Quartiers populaires : l'abandon
L’égalité républicaine, les services publics sont les oubliés de son long monologue et de ses actes depuis un an. Cinq millions d’habitant.e .s, un jeune de moins de 25 ans sur cinq habite un des 1.500 quartiers particulièrement défavorisés ciblés par la politique de la ville. Un.e habitant.e. sur deux vit sous le seuil de pauvreté.
Le budget alloué par l’État à ces quartiers est 30 % inférieur au reste de la France. Celui de la culture y est inférieur de 300%. Les transports y sont six fois plus compliqués qu’ailleurs ! Bref, tous les sas d’entrée dans la République sont défaillants. Symptôme criant, le budget de la politique de la ville est passé de 10 milliards à 400 millions en dix ans.
Depuis 9 mois, des centaines d’associations et de parlementaires, de maires de tout l’arc républicain ont travaillé à partir de l’appel de Grigny. Il en est résulté 19 programmes d’actions qui ont été présentés au Président par Jean-Louis Borloo, pour un budget de 48 milliards d’euros (ce qui représente 1/3 des subventions allouées au CICE).
Macron, le président autoritaire des riches, va continuer à choyer la finance. Passant aux actes, il prend aux pauvres 5 euros sur les APL, ponctionne sur la CSG de nos aînés et offre 5 milliards aux familles les plus riches. La République n’est pas au rendez-vous. Les moyens financiers, humains sont l’angle mort de son one man show. Alors que les fonctionnaires manifestent aujourd’hui contre la mise à sac des services publics, leur rétrécissement territorial, il fait le choix du déni. Il renvoie la responsabilité aux collectivités locales alors qu’elles sont asphyxiées par sa politique libérale et austéritaire.
Macron nous donne rendez-vous tous les deux mois. Nous y serons, pour y rappeler à chaque fois l'exigence d'égalité.
Le président de la République a assuré vouloir « l’effectivité » des droits en banlieue mais n’a annoncé aucune mesure précise pour y parvenir. Photo Gonzalo Fuentes/Reuters
Le président de la République a assuré vouloir « l’effectivité » des droits en banlieue mais n’a annoncé aucune mesure précise pour y parvenir. Photo Gonzalo Fuentes/Reuters
Présentant le plan d’action pour les quartiers populaires prévu pour février, le chef de l’État a longuement disserté sur les quartiers populaires, pour que « chacun retrouve sa dignité », mais renvoyant, avec le slogan choisi, à l’initiative individuelle plutôt qu’à l’État.
Il n’y aura pas de plan pour « vivre en grand la République », comme le suggérait le rapport de Jean-Louis Borloo.